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Charles Ernest Rodolphe Henri Lehmann est d'abord l'élève de son père, Leo Lehmann(de), puis de Ingres à Paris, où il ouvre son atelier en 1847, après s'être fait naturaliser français.
Bourron-Marlotte, mairie-musée : La Fille de Jephté, 1835, huile sur toile, 128 × 161 cm, offerte au musée par le comte de Montesquiou en 1907, Classé MH (2006)[5].
Vae Victis, vers 1874, huile sur toile, 115,5 x 165 cm[10] .
Feuille d’études d’une femme nue vue de dos, de trois-quarts à gauche, les bras levés, 1849-1850, crayon conté, sanguine et craie blanche sur papier crème, 30,1 x 20,3 cm[11].
Étude d’une femme nue vue de dos, de trois-quarts à gauche, les bras levés, 1849-1850, crayon conté, sanguine et craie blanche sur papier chamois, 33,7 x 20,7 cm[12].
Deux études d'homme à cheval, vue de dos, avec quelques reprises de détails, pierre noire et craie blanche sur papier beige, 288 × 477 mm[14]. Ce dessin daté du est une étude préparatoire pour un des cavaliers de la fresque guerrière que réalise Lehmann la même année, Vae Victis (Malheur aux vaincus) (Orléans). Il y étudie certains détails anatomiques et applique la pierre noire avec une grande fermeté[15].
Palais de Justice, plafond de la salle de la cour d'assises : La Loi ; La Méditation ; L'Intégrité ; La Vindicte et La Concorde, 1867, œuvres détruites lors de l'incendie du .
palais du Luxembourg : La France sous les Mérovingiens et les Carolingiens et La France sous les Capétiens, les Valois et les Bourbons, 1855, culs-de-four aux extrémités de la galerie du Trône (actuelle salle des Conférences).
↑Propriété du duc d'Orléans, fils de Louis-Philippe, elle fut achetée par le frère de Ferdinand de Lesseps, puis par le comte de Montesquiou qui la donna à la mairie de Bourron en 1907 lors de la création du musée de la mairie par Charles Moreau-Vauthier.
↑Éric Moinet, Le Temps des passions. Collections romantiques des musées d'Orléans, Orléans, musée des Beaux-Arts, (ISBN2-910173-07-0), n°264
↑Dominique Brême et Mehdi Korchane, Dessins français du musée des Beaux-Arts d’Orléans. Le Trait et l’Ombre, Orléans, musée des Beaux-Arts, (ISBN9 788836 651320), n°132
↑Dominique Brême et Mehdi Korchane, Dessins français du musée des Beaux-Arts d’Orléans. Le Trait et l’Ombre, Orléans, musée des Beaux-Arts, (ISBN9 788836 651320), n°133
Emmanuelle Brugerolles (dir.), Ingres et ses élèves, Carnets d’études 39, Beaux-arts de Paris éditions, 2017.
Domitille Cès et Thierry Zimmer, « Henri Lehmann (Kiel, 1814 - Paris,1882). La fille de Jephté », in : Les Juifs dans l'Orientalisme, [catalogue d'exposition], Paris-Musée d'art et d'histoire du Judaïsme, -, Paris, Skira-Flammarion / musée d'Art et d'Histoire du Judaïsme, 2012, pp. 132-133.
(en) Rudolf Lehmann, An Artist's Reminiscences, Londres, Smith, Elder & Co., 1894 (en ligne sur archive.org).
(en) Pauline Pocknell, « Clandestine Portraits: Liszt in the Art of His Age », in ; New light on Liszt and his music, ed. Michael Saffle et James Deville, Stuyvesant, New York: Pendragon Press, 1997, pp. 123-166.
Daniel Stern et Solange Joubert (ed.), Une correspondance romantique : Madame d'Agoult, Liszt, Henri Lehmann, Paris, Flammarion, 1947.