20 mars : le roi nomme Marie de Médicis régente du royaume en son absence et désigne un conseil de régence de quinze personnes qui limite son pouvoir[3]. Il lève une armée de près de 100 000 hommes dont un fort détachement se dispose à marcher en direction de Juliers contre l’Espagne.
16 juillet : Condé à Paris ; il quitte la Cour en septembre pour montrer son opposition à Concini. De Retour au Louvre début décembre, il se retire en Bourgogne le 17 ; Marie de Médicis exige son retour (29 décembre)[7].
26 novembre : arrêt du Parlement de Paris contre le traité de Bellarmin, De Potestate Summi Pontilicis (traité de la Puissance du Souverain Pontife sur le Temporel), pour ultramontanisme. Devant l’opposition du nonce, la régente recule et le 30 novembre le Conseil d’État sursoit a l’exécution de cet arrêt[13].
↑Pierre-Hyacinthe Morice, François Marie Tresvaux du Fraval, L'église de Bretagne depuis ses commencements jusqu'à nos jours..., Paris, chez Méquignon junior, (présentation en ligne)
↑ ab et cJ. du Mont, Corps universel diplomatique du droit des gens, vol. 5, (présentation en ligne)
↑ ab et cJean Charles Léonard Sismonde de Simondi, Histoire des Français, vol. 5, Dumont, (présentation en ligne)
↑Maximilien de Béthune, Économies royales de Henry le Grand, Foucault, (présentation en ligne)
↑Elie Benoist, Histoire de l’Édit de Nantes, contenant les choses les plus remarquables qui se sont passées en France avant & après sa publication, à l'occasion de la diversité des religions, chez Adrien Beman, (présentation en ligne)
↑ a et bBadier, Dictionnaire de la noblesse, vol. 6, Schlesinger frères, (présentation en ligne)
↑Charles Du Plessis d'Argentré, Collectio judiciorum de novibus erroribus, ab initio XII seculi ad annum 1713, Apud A. Cailleau, (présentation en ligne)