Benjamin d'une famille de 16 enfants et père de 3 enfants, Marc Laffineur est docteur en médecine.
Marc Laffineur est élu conseiller général de Maine-et-Loire en 1982. L'année suivante, il devient maire d'Avrillé. Il est réélu à ce poste en 1989, 1995 et 2001. En 2008, il gagne l'élection municipale d'Avrillé au premier tour avec 59,63 % des voix.
Il occupe un poste de vice-président de la communauté urbaine Angers Loire Métropole de 2001 à 2020.
En 2007, il est élu au premier tour avec 51,70 % des voix.
Marc Laffineur est élu 1er vice-président de l'Assemblée nationale par ses pairs en 2007 et est largement réélu à cette fonction chaque année jusqu'en 2011. Il est par ailleurs membre de la Commission des Finances et coprésident du groupe d'études sur les maladies orphelines, qu'il a lui-même fondé.
Rapporteur spécial du budget des collectivités territoriales à l’Assemblée nationale, membre du Comité des finances locales et de la Commission chargée de la labellisation des pôles d’excellence rurale, Marc Laffineur porte dans son travail parlementaire une attention particulière aux élus et aux territoires. Auteur du rapport de suivi de la réforme de la taxe professionnelle et artisan de la création du fonds de péréquation sur les droits de mutation à titre onéreux, il porte l’engagement de la majorité pour la justice fiscale entre les territoires. Il mène ensuite une mission sur la création du fonds national de péréquation sur les ressources intercommunales et communales qui doit redistribuer 1 milliard d’euros en 2015.
Marc Laffineur a appartenu à la Commission des Affaires européennes de l'Assemblée nationale au sein de laquelle il a été chargé du rapport d'information sur l'avant-projet de budget général des Communautés européennes.
En 2008, Marc Laffineur est nommé 1er vice-président délégué de Dialogue & Initiative. Fondé en 2000 par Michel Barnier, Jacques Barrot, Dominique Perben et Jean-Pierre Raffarin, Dialogue & Initiative a préfiguré la création de l'UMP et a rassemblé 120 parlementaires de la droite et du centre. Il anime ensuite le club autour d'un leitmotiv : « Comment remettre l'économie au service de l'homme ? ». En vue de l'élaboration du projet présidentiel pour 2012, il organise en 2011 deux Colloques à l'Assemblée nationale sur les thèmes : « Argent et Humanisme font-ils bon ménage ? » et « Les écarts de salaire sont-ils sans limites ? ».
Le , il est nommé secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense et des anciens Combattants[1]. En , il lance avec son collègue Jean Leonetti, le Ministre des affaires européennes le courant des Humanistes de l'UMP.
Il se présente lors des élections législatives françaises de 2012. Lors du second tour, il rassemble 50,10 % des voix contre 49,90 % pour la candidate socialiste Silvia Camara-Tombini.