Le projet du Vickers Vildebeest remontait à 1926. Il devait remplacer l'avion torpilleur Hawker Horsley[1]. Il effectua son vol initial en avec un moteur en étoile Bristol Jupiter[2].
Engagements
Le Vildebeest rejoignit les escadrilles de la Royal Air Force en 1932 seulement, mais sa carrière opérationnelle fut remarquablement longue et intensive[1]. Une centaine de Videbeest étaient encore en service dans des escadrilles de défense côtière du Coastal Command, en Grande-Bretagne et outre-mer (en Extrême-Orient), lorsque la Seconde Guerre mondiale éclata en 1939[2].
Mark I, propulsé par un moteur en étoile Pegasus dépourvu de capot entraînant une hélice bipale en bois. Il fut pris en compte en 1933 par le Squadron 100[2].
Mark III triplace avec un poste de pilotage arrière modifié[2]. Ce fut la version la plus prolifique, avec 111 exemplaires construits[3].
Mark IV, avec un moteur en étoile Perseus entraînant une hélice tripale métallique. Trois Squadrons basés en Grande-Bretagne furent dotés de ce type d'appareil[2].
Au total 194 Vildebeest furent construits.
Toutes ses variantes pouvaient être munies d'un train d'atterrissage normal ou de flotteurs interchangeables[3].
Autres caractéristiques
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Opérateurs
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Nouvelle-Zélande : 16 livrés en , plusieurs dizaines d'autres transférés durant la Seconde Guerre mondiale.
Notes et références
↑ a et bEnzo Angelucci et Paolo Matricardi, Multiguide aviation – Les avions 2/ Les avions de l’entre-deux-guerres, Elsevier Sequoia, , 319 p., p. 113.
↑ abcde et fLe grand atlas de l'aviation, Évreux, Atlas, , 431 p. (ISBN2-7312-1468-6), p. 7.
↑ a et b« Bombardiers-torpilleurs, attaque au niveau de la mer », Connaissance de l'histoire mensuel éditions Hachette, no 24 Aéronavale 1914-1939, , p. 42.