Saint-Amans-Soult est une commune rurale qui compte 1 524 habitants en 2022. Elle est dans l'unité urbaine de Saint-Amans-Soult et fait partie de l'aire d'attraction de Mazamet. Ses habitants sont appelés les Saint-Amantais ou Saint-Amantaises.
La commune était anciennement appelée Saint-Amans-la-Bastide : elle a été renommée en 1851 en hommage au maréchal Soult, né dans la commune en 1769.
Géographie
Localisation
La commune de Saint-Amans-Soult est située dans la vallée du Thoré au sud du département du Tarn, à mi-chemin sur l’axe routier qui relie Toulouse à Béziers. Elle est limitrophe du département de l'Aude.
Le village est installé sur la rive gauche du Thoré.
Cette rivière fut, de la fin du XIXe au début du XXe siècle, au centre de la révolution industrielle, avec comme principale activité l’industrie textile (délainage).
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographiqueAdour-Garonne[3]. Elle est drainée par le Thoré, le Rieuvergnet, le ruisseau de la Truite, le ruisseau de la Ville, le ruisseau des Esclayracs, Rec Dal Fau, Rieu Pégé, le ruisseau de la Cave, le ruisseau de la Trille, le ruisseau de Lestrèpe, le ruisseau de Peyre Pause, le ruisseau des Esclayracs, le ruisseau des Pradels, le ruisseau des Raynauds, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 40 km de longueur totale[4],[Carte 1].
Le Thoré, d'une longueur totale de 61,6 km, prend sa source dans la commune de Rieussec et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout à Navès, après avoir traversé 20 communes[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 129 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouairoux », sur la commune de Rouairoux à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 653,1 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 42 °C, atteinte le ; la température minimale est de −11,5 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].
La commune fait partie du parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[15]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[16],
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 2] est recensée sur la commune[17] :
la « montagne Noire (versant Nord) » (31 971 ha), couvrant 37 communes dont 14 dans l'Aude, deux dans la Haute-Garonne, trois dans l'Hérault et 18 dans le Tarn[18].
Urbanisme
Typologie
Au , Saint-Amans-Soult est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].
Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Amans-Soult[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 4],[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mazamet, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 4 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 4],[I 5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (67,5 %), prairies (16,5 %), zones agricoles hétérogènes (9,8 %), zones urbanisées (6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Thoré. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIeContrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[22]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1995, 1996, 1999, 2011, 2017 et 2018[23],[20].
Saint-Amans-Soult est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 6],[24].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[25]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 32,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 812 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 737 sont en aléa moyen ou fort, soit 91 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[28].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Amans-Soult est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].
Toponymie
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Histoire
Apparition d'une bastide au XIIIe siècle
Jadis il existait un seul Saint-Amans bâti au pied de la Montagne Noire, le long de la rive droite du Thoré.
1225 : une poignée d’habitants désireux de s'affranchir de la tutelle seigneuriale, fonda une bastide sur l’autre rive du Thoré.
Ainsi naquit Saint-Amans-la-Bastide, ville franche placée sous la suzeraineté directe de la Couronne de France. Très vite la nouvelle cité s’entoura de remparts et fut communément désignée sous le nom de Saint-Amans vila mendre (ville de moindre importance) par opposition au Saint-Amans primitif (sur la rive droite du Thoré) qu’on qualifia de vila mage (ville principale) (aujourd'hui nommée Saint-Amans-Valtoret).
Dès la création de Saint-Amans vila mendre le roi agit en maître et seigneur absolu sur cette ville, qui fut une des places fortes du Languedoc.
Guerres de religion au XVe siècle
1572 : en pleine guerre de religion les deux Saint-Amans s’affrontent pendant quatre jours, la ville restera finalement aux mains des protestants qui détruisent l’église initiale (du XIIIe) en 1581 afin d’édifier un temple.
Toutefois elle sera rebâtie 100 ans plus tard sous son vocable actuel de Notre-Dame-de-l’Assomption. Le clocher de l’église du XIIIe siècle a été conservé, il est un bon exemple de l’architecture régionale de cette époque.
Après cette période de conflits, qui dure par intermittence pendant près de deux siècles, le commerce se développe et voit apparaître à Saint-Amans-Soult la production de verre par les gentilshommes verriers. Ces derniers s’installent sur les premiers contreforts de la montagne Noire qui leur offre les matériaux de base (le bois et la silice) indispensables à leur activité.
Ces artisans ont laissé sur le territoire de la commune un précieux témoignage de leurs activités. En effet, plusieurs fours verriers datant du XVIIe siècle sont encore visibles. Des travaux de restauration de ce précieux et rare patrimoine ont débuté en 2002 et se poursuivent grâce au concours des partenaires locaux.
Échec de la fusion Saint-Amans-la-Bastide et Saint-Amans-Valtoret
1806 : le baron Gary, préfet du département du Tarn proposa la réunion des deux villages (se trouvant de part et d’autre du Thoré) en une seule commune. Mais les deux municipalités s’y opposèrent farouchement.
Saint-Amans-la-Bastide est rebaptisé en l’honneur du maréchal Soult
1851 : le , la ville de La Bastide de Saint-Amans prit définitivement le nom de Saint-Amans-Soult en reconnaissance à ce grand soldat et homme d’État que fut le maréchal Jean de Dieu Soult, originaire de la commune.
1910 : création de la commune d’Albine détachée de Saint Amans Soult
Seconde Guerre mondiale, le maquis en ébullition
1939-1945, des résistants prennent le maquis et se rencontrent dans le château du Maréchal Soult afin d'organiser la lutte face à l'envahisseur nazi.
1978 : les deux communes se sont dotées d’un syndicat intercommunal.
Les fêtes de Saint-Largi
Depuis le début du XIXe siècle, une fête est organisée à Saint-Amans-Soult (bœuf à la broche, chapiteau, concerts, manèges, feu d'artifice). Ces festivités se déroulent au mois d'août et connaissent un fort succès.
Intégration dans la communauté d'agglomérations
1993 : Saint-Amans-Soult entre dans le district de Castres-Mazamet puis participe à la création de la communauté d’agglomérations le .
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 833 personnes, parmi lesquelles on compte 73,1 % d'actifs (64,6 % ayant un emploi et 8,5 % de chômeurs) et 26,9 % d'inactifs[Note 8],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Mazamet, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 11]. Elle compte 517 emplois en 2018, contre 469 en 2013 et 544 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 543, soit un indicateur de concentration d'emploi de 95,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,9 %[I 12].
Sur ces 543 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 173 travaillent dans la commune, soit 32 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 89,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,7 % les transports en commun, 5,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
117 établissements[Note 9] sont implantés à Saint-Amans-Soult au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 15].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
117
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
21
17,9 %
(13 %)
Construction
12
10,3 %
(12,5 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
34
29,1 %
(26,7 %)
Activités financières et d'assurance
4
3,4 %
(3,3 %)
Activités immobilières
2
1,7 %
(4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
15
12,8 %
(13,8 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
20
17,1 %
(15,5 %)
Autres activités de services
9
7,7 %
(9 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,1 % du nombre total d'établissements de la commune (34 sur les 117 entreprises implantées à Saint-Amans-Soult), contre 26,7 % au niveau départemental[I 16].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[32] :
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].
En 2022, la commune comptait 1 524 habitants[Note 14], en évolution de −5,58 % par rapport à 2016 (Tarn : +2,52 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Le menhir des Amalrics a été rapporté depuis les champs d'où il a été déterré jusqu'au hameau des Amalrics. Depuis 1893, cette belle dalle au sommet soigneusement arrondi y sert de support à un calvaire.
Le menhir de Peyre Pause est le second menhir de la commune.
Château, maison natale et tombeau du maréchal Jean Soult
Maison où naquit en 1769 le maréchal et duc de Dalmatie Jean Soult.
Tombeau du maréchal Jean Soult (chapelle funéraire de la famille Soult), de son épouse Louise Berg, et de René Reille Soult adossé à l'église Notre-Dame de Saint-Amans-Soult
Xavier Reille (1871-1944), baron, militaire, industriel et homme politique, né à Saint-Amans-Soult, maire de Saint-Amans-Soult, député du Tarn.
Amédée Reille (1873-1944), homme politique français, député du Tarn en 1899.
René Reille-Soult de Dalmatie (1888-1917), homme politique français, député du Tarn tué pendant la Grande Guerre. Il repose devant le tombeau du maréchal Soult et de son épouse Louise Berg.
Pierre Michel (1943-1981), né à Saint-Amans-Soult et mort assassiné à Marseille, est un juge d'instruction français. C'est après le juge Renaud, le deuxième juge assassiné en France sur les ordres de la pègre depuis l'Occupation.
Bibliographie
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↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Amans-Soult comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
↑Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )