Louis II devient comte à la mort de son père en 1326.
Par une charte du mois de février 1327, il confirma les Coutumes de Lorris, pour les habitants de la ville de Sancerre, dont un droit annuel de faitage sur chaque propriétaire de maison[2].
En 1333, Jean de Mondreville (Jean de Mondrainville, écuyer, seigneur de Couville et du fief de Montgautier[8], épousa Thomine de Montchauvet[9]??), procureur du comte Louis, réalise une vente de rente à Geoffroi de Beaumont, seigneur du Lude, conseiller[10] et chambellan du roi[11],[12].
Marguerite, décédée à l'âge de 8 ou 9 ans[15], enterrée en l'église paroissiale Notre-Dame de Sancerre.
Isabeau de Sancerre, dame de Bommiers et de Vouzon (vers 1342-1373/1375), mariée en premières noces à Pierre de Graçay, seigneur de La Ferté-Nabert, Vouzon, Cléry, Lisle, puis en secondes noces, Guichard Ier Dauphin, seigneur de Jaligny, Treteau et la Ferté-Chauderon, tué à la bataille d'Azincourt. Ils eurent pour fils Guichard II Dauphin, tué comme son père à Azincourt. Avant de mourir, son oncle, le Connétable Louis de Sancerre exigea que ce dernier lui jurât d'écarteler les armes de Champagne avec les siennes, et d'unir les célèbres cuttices d'or au Dauphin d'azur.
Louis II et son beau-père, Jean de Roucy, sont tués le au cours de la bataille de Crécy. Louis avait de sa retenue quatre chevaliers[18].
Louis aurait été parmi les capitaines français à être rentrés dans les lignes de la première division anglaise, commandée par le jeune prince de Galles, soutenue par la seconde division. Son corps ayant été relevé par ordre du roi Édouard, il aurait été inhumé au monastère de Maintenay près Crécy[19].
En 1348, sa veuve, Béatrix de Roucy, comtesse de Sancerre, reconnut à Loys de La Porte, seigneur de Pesselières, le droit coutumier, réservé aux Maréchaux du Comté de Sancerre, de prendre son char et le limonier (premier cheval de trait) tout garni et tout le vaissellement, tant de manger que de boire.
↑d’après une communication du 28/12/2006 de Thierry Le Hête à propos de son ouvrage sur les Blois-Champagne, Sully et Beaujeu : Saint-Sébastien de Morsent - 2004)
↑Œuvre de Jean Froissart, Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique - 1876 - 114
↑Analyse raisonnée de l'histoire de France, Chateaubriand, Reprod. de l'éd. de, Paris : Garnier, 1861, notice n° : FRBNF37304322