Suite des quatre éléments : La Terre[2], l'Air, Le Feu (Vénus demande à Vulcain de forfer des armes pour Énée)[3] et L'Eau (Triomphe d'Amphitrite et de Neptune)[4], L'Annonciation[1], d'après Louis de Boullongne, 1717-1718.
La naissance d'Adonis (Myrrha, mi-femme mi-arbre, donnant naissance à Adonis), d'après Carlo Cignani.
Vénus sur les eaux[5], Minerve dissipe l'ignorance et l'erreur[1], Procession funèbre du prince Pallas (Énéide)[6], Énée et Jupiter dans les nuées, Alcide rend Alceste au roi Admète et L'Amour réfugié dans la maison d'Anacréon[7], d'après Antoine Coypel.
Le sacrifice d'Isaac[12], Manoach et sa femme prosternés face à l'apparition de l'ange, Élie et les prophètes de Baal[9] et Le faste des puissances voisines de la France (1702)[13] d'après Charles Le Brun.
Jésus lavant les pieds des apôtres, d'après Jérôme Mutian.
La chasse au tigre et La chasse au lion (tableaux originaux aujourd'hui disparus), Portrait équestre de Charles de Nassau-Siegen[16], d'après Charles Parrocel.
L'adoration des bergers[1], Le triomphe de Vespasien et de Titus (« Vespasien et son fils Titus, vainqueurs de la Judée, la tête ceinte de lauriers et couronnés par la Victoire, sont debout dans un même char attelé de quatre chevaux pie et vont passer sous l'arc de triomphe dressé en mémoire de cet événement. Deux écuyers, couronnés de lauriers, conduisent les chevaux ; à droite, un soldat, également couronné, porte un vase précieux. Devant le char, un officier romain tient par les cheveux une juive, personnification de la Judée soumise ; il est précédé d'un soldat déjà engagé sous l'arc de triomphe et portant le chandelier à sept branches du temple de Jérusalem. Dans le fond, la campagne de Rome où, peu après, Vespasien fit construire le Colisée par le Juifs réduits à l'esclavage »[17]) d'après Jules Romain[18].
La Sagesse compagne d'Hercule[9], Le respect, L'amour heureux, Léda et le cygne[1] et Entre le vice et la vertu d'après Paul Véronèse[19].
La peinture (singe assis devant un chevalet)[20], La sculpture, Charlotte Desmares jouant le rôle de pèlerine[21], Dumirail en habit de paysan, d'après Antoine Watteau.
Juste-Aurèle Meissonnier, Livre d'ornements inventés et dessinés par J.-O. Meissonier, architecte, dessinateur de la Chambre et du Cabinet du Roi, Gabriel Huquier, Paris, 1745.
Musée du Louvre, Paris, Le couronnement du Roi Louis XV - La cérémonie des offrandes, d'après Pierre Dulin[8].
Musée national du château de Pau, Mornay arrache Henri IV à l'amour de Gabrielle et La clémence d'Henri IV après la bataille d'Ivry, d'après François Lemoyne[9].
Musée des beaux-arts de Rennes, Portrait de Marguerite Bécaille, d'après Nicolas de Largillierre, La chasse au tigre, d'après Charles Parrocel, La peinture et La sculpture, d'après Antoine Watteau[9].
Musée de Vendôme, Élie et les prophètes de Baal, d'après Charles Le Brun[9].
Château de Versailles, Portrait de Marguerite Bécaille, d'après Nicolas de Largillière.
Italie
Pinacothèque Tosio Martinengo, Brescia, L'amour réfugié dans la maison d'Anacréon d'après Antoine Coypel, Allégorie du printemps et Allégorie de l'automne d'après Nicolas Fouché, Descente de croix, d'après Jean Jouvenet[7].
British Museum, Londres, La Terre, d'après Louis de Boullongne[2] ; Saint Bruno en méditation[10] ; L'œuvre de Juste-Aurèle Meissonnier[25].
Cuming Museum(en), Londres, Sainte Marie d'Égypte, d'après Nicolas de Largilliere[11].
Royal Collection, Londres, Portrait équestre de Charles de Nassau-Siegen, d'après Charles Parrocel[16].
Victoria and Albert Museum, Londres, Le triomphe de Vespasien et de Titus, d'après Jules Romain[18], Chandelier sculpté en argent, du Livre d'ornements de Juste-Aurèle Meissonnier[26].
Metropolitan Museum of Art, New York, Le sacrifice d'Isaac, d'après Charles Le Brun[12] ; Diane au bain, d'après Carlo Maratta[15], La peinture[20] et Charlotte Desmares jouant le rôle de pèlerine[21], d'après Antoine Watteau.
↑ Georges Duplessis, Histoire de la gravure en France, Rapilly, Paris, 1861.
↑ Émile Dacier, La gravure française, Larousse, 1944.
↑ Thomas Fouilleron, « Homme de goût ou goût de prince ? Jacques Ier de Monaco (1689-1751), amateur de peinture », Revue historique, n°683, mars 2017, pages 541-566.
François Basan, Dictionnaire des graveurs anciens et modernes depuis l'origine de la gravure, avec une notice des principales estampes qu'ils ont gravées, chez De Lormel, Saillant, Veuve Durand, Durand et Dessaint, Paris, 1767.
Dictionnaire des artistes dont nous avons des estampes, avec une notice détaillée de leurs ouvrages gravés, tome quatrième, chez Jean Gottlob Immanuel Breitkopff, Leipzig, 1790.
Michael Huber et Carl Christian Heinrich Rost, Manuel des curieux et des amateurs de l'art contenant une notice abrégée des principaux graveurs et un catalogue raisonné de leurs meilleurs ouvrages, depuis le commencement de la gravure jusqu'à nos jours, chez Orell, Fusli et Compagnie, Zürich, 1804.
Georges Duplessis, Histoire de la gravure en France, Rapilly, Paris, 1861.
Georges Duplessis, De la gravure de portrait en France, Rapilly, Paris, 1875.
Edmond de Goncourt, Catalogue raisonné de l'œuvre peint, dessiné et gravé d'Antoine Watteau, Rapilly, Paris, 1875.
Dezobry et Bachelet, Dictionnaire de biographie, t.1, Ch. Delagrave, 1876, p. 783-784
Paul Lacroix, L'ancienne France - Peintres et graveurs, Firmin-Didot, Paris, 1888, réédition B.N.F. 2012.
Émile Dacier, Albert Vuaflart et Jean Herold, Jean de Julienne et les graveurs de Watteau au XVIIIe siècle, 4 volumes, Maurice Rousseau, libraire à Paris, 1922-1929.
Émile Dacier, La gravure française, Larousse, 1944
Marcel Roux, avec la collab. d'Edmond Pognon, Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle, Bibliothèque nationale, Département des estampes. Tome VII, Bibliothèque nationale, 1951, p. 73-119