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La liste de films LGBT est une liste de films (longs, courts et moyens-métrages) et téléfilms où les thèmes des minorités sexuelles et de genres sont présents et ou évoqués explicitement ou implicitement.
Tous les films, cités ci-dessous, dans leur article, mentionnent explicitement et sourcé la thématique LGBT.
(1) Titre : titre sortie France ; TQ : titre Québec ; TB : titre belge.
(2) Support : film (long-métrage, court-métrage, moyen-métrage) ; film documentaire ; et éventuellement : série TV ; mini-série et téléfilms (si liés aux films et à leur⋅s auteur⋅trice⋅s ici présent).
H (Afrique du SudCanada) inspiré d'une histoire vrai - LGBT+ et autres minorités - homophobie - discrimination envers les LGBT+ - LGBT+ ayant une fin tragique
H (ItalieFranceBrésilÉtats-Unis) découverte et acceptation de son homosexualité ; adolescence ; homosexualité dissimulée ; récit initiatique ; premier amour estival
H (Brésil) Film sur les LGBT liée à des faits réel - Film traitant des LGBT et autres minorités - homophobie - film sur les LGBT ont un destin tragique (prostitution)
P.b-m.travestissement.g. S.travestissement.g.
João Francisco dos Santos/Madame Satã (travesti, bisexuel, gay)
H (Chine) film censurée - relation de domination dans une relation LGBT - LGBT est force de l'ordre - répétion et discrimination envers les personnes LGBT
H (Israël) (Teddy Award) amour impossible - homphobie - discrimination liée à l'orientation sexuel - religion et culture - acceptation de son homosexualité[réf. souhaitée]
H (Israël) religion - découverte et acceptation de son homosexualité - discrimination en raison de son homosexualité - discrimination causée par des discriminations religieuses - personnage LGBT ayant une fin tragique
H (Japon) basé sur des récits autobiographiques LGBT[réf. souhaitée] récit tragique sur les LGBT ; LGBT dans l’armée ; LGBTI+ criminel ; stéréotypes et discriminations sur les LGBTI+
P.g. S.g.
major Jack Celliers (David Bowie) (relation ambiguë, gay)
H (Pologne) découverte et acceptation de son homosexualité - coming-out - homophobie - discrimination et rejet en raison de l'homosexualité - personnage LGBT ayant un destin tragique
Pour documenter cette page, sont rappelés ci-dessous des films emblématiques autour des thèmes LGBT au cinéma.
En tenant compte du critère géographique et culturel, les films retenus ici sont :
ceux qui abordent et traitent de façon inédite ces divers thèmes ;
ceux qui connaissent une postérité importante ;
ceux qui ont connu une audience remarquable ;
ceux qui ont été primés de façon inédite pour leur thème.
Par ailleurs, l'article détaillé de chaque film listé ici doit mentionner explicitement la thématique LGBT et valider cela à partir de sources. Par défaut, les descriptifs sur les films reprennent les éléments de ces mêmes articles détaillés.
1920 : L'Homme du large de Marcel L'Herbier (France) ; drame qui évoque l'homosexualité féminine ; il encourut la censure à cause d'une séquence de cabaret où une femme caressait la cuisse d'une femme.
1923 : La Garçonne d' Armand Du Plessy (France) ; film muet d'après le roman homonyme qui présente une jeune femme indépendante menant une vie sexuelle très libre, avec des partenaires aussi bien masculins que féminins[108] ; film censuré en 1941[109]. Le roman vu de nouveau adapté en 1939 par Jean de Limur en déjouant cette fois la censure.
1933 : La Reine Christine (Queen Christina) de Rouben Mamoulian (États-Unis) : romance biographie historique qui traite du travestissement d'une femme en homme et de la séduction d'un homme sous ce travestissement.
1950 : Un chant d'amour de Jean Genet (France) (censuré jusqu’en 1975) ; court métrage expérimental qui traite des relations amoureuses et érotiques homosexuelles dans une prison.
1954 : Mademoiselle Hanafi (Anissa Hanafi) de Fatin Abdel Wahab (Égypte) ; le personnage principal subit une opération de changement de sexe. Il finira par épouser un garçon boucher et mettra même au monde des quadruplés.
1955 : La Fureur de vivre (Rebel Without a Cause) de Nicholas Ray (États-Unis) drame qui traite de l'admiration pour un modèle paternel et l'attirance de Platon pour Jim est sous-entendue[114] (une scène de baiser entre Platon et Jim sera d'ailleurs censurée)[107] ;
1956 : Thé et Sympathie (Tea and Sympathy) de Vincente Minnelli (États-Unis) ; comédie dramatique qui traite de la discrimination et du harcèlement scolaire en raison d'une orientation supposée[107]. Il a reçu quelques distinctions.
1957 : Les Œufs de l'autruche de Denys de La Patellière (France) ; comédie qui traite d'un père de famille acceptant, pour les avantages qu'il peut en retirer, sa famille telle qu'elle est : un fils homosexuel, un autre entretenu par une comtesse japonaise, et une épouse infidèle[115].
La Chatte sur un toit brûlant (Cat on a Hot Tin Roof) de Richard Brooks (États-Unis) ; drame qui traite d'une amitié entre deux hommes qui supplante la vie conjugale de l'un d'eux et du deuil consécutif à la mort d'un des deux[107].
Ben-Hur de William Wyler (États-Unis) ; péplum où l'homosexualité masculine entre les deux protagonistes est tacite[117]. Un des trois films les plus primés avec onze Oscars.
Certains l'aiment chaud (Some Like It Hot) de Billy Wilder (États-Unis) ; comédie dont les deux protagonistes, pour échapper à la mafia se travestissent, plusieurs quiproquos s'ensuivent jusqu'à la possibilité que deux hommes se marient ensemble[107]. Il a reçu de nombreuses distinctions. Il est recommandé par le British Film Institute.
Soudain l’été dernier (Suddenly Last Summer) de Joseph L. Mankiewicz (États-Unis) ; drame qui traite de la mort d'un poète, homosexuel, et des conséquences psychologique sur son entourage par la manière dont il utilisait ses proches pour vivre sa sexualité[107].
La Rumeur (The Children’s Hour) de William Wyler (États-Unis) ; drame où les deux directrices font l'objet d'une dénonciation calomnieuse : en entretenant des rapports inavouables. Leur réputation est désormais détruite. L'une d'elles avoue à l'autre qu'elle pense lui porter cet amour interdit dont elles ont été accusées. Les gestes esquissés de regards intenses et amoureux ne sont jamais explicités par des dialogues[107]. Le traitement de l'homosexualité féminine trop explicite a subi une censure au montage. Ce film a reçu de nombreuses distinctions.
La Victime (Victim) de Basil Dearden (Royaume-Uni) ; drame qui traite de l'homosexualité masculine ; c'est le premier film britannique qui utilise le terme « homosexualité »[107].
Lawrence d’Arabie (Lawrence of Arabia) de David Lean (Royaume-Uni) ; biographie d'aventure et historique qui d'un personnage masochiste, avec un contenu homoérotique[119] ; il a reçu de nombreuses distinctions, dont plusieurs Oscars et Golden Globes.
La Maison du diable (The Haunting) de Robert Wise (Royaume-Uni) ; film fantastique et d'horreur où le lesbianisme de Theodora était subtilement suggéré dans le roman ayant inspiré le film, celui-ci le rend explicite[123] ; il a été primé par un Golden Globe.
Les Amitiés particulières de Jean Delannoy (France) ; film dramatique qui traite de l’éveil à la vie affective à adolescents et de l'interdit de l'homosexualité masculine dans un pensionnat religieux. L'explicitation de ce thème lui valut une critique ; il représentera néanmoins la France à la Mostra de Venise 1965.
Scorpio Rising de Kenneth Anger (États-Unis) ; court métrage expérimental qui aborde également le culte des icônes rebelles de l'époque comme James Dean et Marlon Brando.
Le Bal des vampires (The fearless vampire killers or pardon me, your teeth are in my neck / Dance of the vampires) de Roman PolanskiRoyaume-Uni) ; comédie où les personnages vampires ont des caractères humains tel l'homosexualité.
Le Renard (The Fox) de Mark Rydell (Canada) ; drame où un trio amoureux tragique ; construit à partir d'un couple lesbien qui voit l'arrivée d'un homme[107]. Il a été distingué à de nombreuses reprises.
Reflets dans un œil d'or (Reflections in a Golden Eye) de John Huston (États-Unis) ; drame où le major va se sentir irrésistiblement attiré par un jeune soldat alors que ce dernier est fasciné par la femme du major.
Flesh de Paul Morrissey (États-Unis) ; drame qui aborde les thèmes de la prostitution masculine, de la bisexualité et de l'homosexualité féminine.
Théorème (Teorema) de Pier Paolo Pasolini (Italie) ; un personnage mystérieux d'une étrange beauté séjourne dans une riche famille milanaise et entretient des rapports sexuels avec chaque membre de la famille, changeant radicalement la vie de chacun. il a été récompensé à la Mostra de Venise.
Satyricon de Federico Fellini (Italie) ; comédie dramatique, péplum qui traite de l’homosexualité, de la bisexualité et de la pédérastie masculine dans l’antiquité romaine d'après le roman éponyme[133],[134]. Il reçut de nombreuses distinctions.
Le Conformiste (il Conformista) de Bernardo Bertolucci (Italie) ; satire politique dramatique dont le récit s'articule autour du viol initial du protagoniste par un jeune chauffeur de maître qu'il retrouvera à la fin en conversation d'un jeune prostitué.
L’Escalier (Staircase) de Stanley Donen (États-Unis, France, Royaume-Uni) ; comédie dramatique qui narre le lien qui unit le couple de deux hommes et leur attachement réciproque en dépit des mesquineries qu'ils s'infligent l'un à l'autre.
La Lettre du Kremlin (The Kremlin Letter) de John Huston (États-Unis) ; film d'espionnage dont parmi le groupe d'espions aventuriers au centre de l'intrigue : un homosexuel faisant du tricot pour se détendre ; il traite également du travestissement[réf. souhaitée].
Pink Narcissus de Anonyme (en fait, James Bidgood) (États-Unis) ; les fantaisies érotiques d'un jeune homme gay. Le film resta peu connu jusqu'en 1999 ; il connaît une postérité.
Un après-midi de chien (Dog Day Afternoon) de Sidney Lumet (États-Unis) ; film de gangsters et drame qui traite de la bisexualité masculine et de la transidentité ; il reçoit de nombreuses distinctions, dont Al Pacino vedette de premier plan qui interprète le rôle d'un personnage explicitement homosexuel ; il est entré dans le National Film Registry.
Salò ou les 120 Journées de Sodome (Salò o le centoventi giornate di Sodoma) de Pier Paolo Pasolini (Italie) ; film dramatique qui traite de sévices imposés par 4 hommes notables et leurs aides hommes et femmes à 9 jeunes garçons et 9 jeunes filles ; il est encore censuré dans plusieurs pays ; sa réception fait encore débat ; il est une œuvre posthume du cinéaste, assassiné quelques mois avant sa sortie.
The Rocky Horror Picture Show de Jim Sharman (États-Unis) ; comédie horrifique et film musical qui traite du travestissement queer, de l’homosexualité et de la bisexualité masculine ; il rend un hommage parodique aux films de genre ; il est considéré aujourd'hui comme un film culte parmi les « midnight movies » et il jouit d'un très large public de fans dans le monde entier ; il est sélectionné dans la National Film Registry.
Un éléphant ça trompe énormément d'Yves Robert (France) ; souvent considéré comme le premier grand rôle d'homosexuel « positif » du cinéma populaire français, avec le personnage très nuancé de Daniel, incarné par Claude Brasseur, ordinairement plus habitué aux rôles de mâle dominant plus ou moins macho. Celui-ci, qui accepta le rôle contre l'avis de son agent, déclara « J'ai dit tout de suite que je ne voulais pas faire de Daniel une folle tordue ! », c'est-à-dire un homosexuel caricatural comme les films de l'époque les montrent alors. Il demande par ailleurs à jouer une scène de bagarre dans le film. Lors de la scène où est révélée sa sexualité, son amant le traite de « pauvre conne » devant ses amis stupéfaits. Claude Brasseur explique : « À ce moment, je regarde mes copains pour les défier. Voilà : je suis pédé et je vous emmerde ! Mais à la scène suivante, je suis chez moi. Je pleure, parce que je pense que je vais perdre mes amis qui ne comprendront pas. Rochefort arrive. Il ne me voit pas pleurer. Je suis filmé de dos, par fierté[147]. »
Une journée particulière (Una giornata particolare) d’Ettore Scola (Italie) ; drame qui traite de l’homosexualité masculine comme isolement et des discriminations et persécution dans l’Italie fasciste, il a reçu de nombreuses distinctions.
Outrageous! de Richard Benner(en) (Canada) : comédie qui traite de l'homosexualité masculine et du travestissement-queer ; il est l'un des premiers films à thème gay à bénéficier d'une sortie en salle généralisée en Amérique du Nord ; il a inspiré une suite, Too Outrageous! et une comédie musicale ; il a reçu un Ours d'or.
La Cage aux folles d’Édouard Molinaro (France) ; comédie qui traite de l’homosexualité masculine, du travestissement de scène, de l’usurpation d'identité[150] ; il reçut un grand succès en France, en Italie et également aux États-Unis ; il a fait l’objet de plusieurs remakes et adaptations ; il a reçu aussi plusieurs distinctions.
You Are Not Alone (Du er ikke alene) de Lasse Nielsen et Ernst Johansen (Danemark) ; drame et romance où dans un pensionnat de garçons danois, deux élèves vivent secrètement leur amour naissant. Leur relation sera valorisée à la fin du film.
Race d’Ep (autre titre : Race d’Ep. Un siècle d’images de l’homosexualité) film documentaire de Lionel Soukaz et Guy Hocquenghem (France) ; reconstitution cinématographique de l'histoire gaie et lesbienne sur une période d'un siècle ; sa sortie en salle dans une version expurgée a été permise grâce au soutien d’intellectuels.
Cruising de William Friedkin (États-Unis) ; thriller policier qui traite de l’homosexualité masculine autour d'une enquête, dans le milieu gaysado-masochiste new-yorkais à propos des meurtres d'homosexuels, par un jeune policierhétérosexuel (Al Pacino)[107] ; le film est toujours censurée aux États-Unis ; il est critiqué par les associations homosexuelles pour son traitement négatif et stéréotypé de l'homosexualité.
Deux Lions au soleil de Claude Faraldo (France) ; comédie dramatique qui est un des rares films français montrant des personnages d'homosexuels – ou plutôt, en l'occurrence, de bisexuels – de la classe ouvrière[153]
Le Rebelle de Gérard Blain (France) ; drame qui traite de l’homosexualité masculine par un personnage secondaire exerçant un chantage sexuel et qui connaîtra un sort tragique.
Le père Noël est une ordure de Jean-Marie Poiré (France) ; comédie burlesque qui traite de l’homosexualité et du travestissement masculin et des discriminations envers les personnes LGBT ; il devient un film culte après ses diffusions à la télévision ; il connaît une postérité.
Partners de James Burrows (États-Unis) ; comédie[158] qui traite de l'homosexualité masculine ; des personnes LGBTI+ et la police ; des personnes LGBTI+ victimes de crime ; des préjugés envers les personnes LGBTI+ et de l'usurpation d'identité d'orientation sexuelle[159]
La Truite de Joseph Losey (France) ; drame qui traite de l'homosexualité masculine comme accessoire d'une femme d'affaires.
Furyo (Merry Christmas, Mr. Lawrence) de Nagisa Ōshima (Royaume-Uni, Japon) ; drame qui traite des relations homosexuelles masculines dans l'armée et des représentations de l'homosexualité et de la virilité dans ce milieu par le récit tragique d'une relation ambiguë[162] ; il a été distingué en sélection à Cannes ; il connaît une postérité culturelle.
La Triche de Yannick Bellon (France) ; traite de l'homosexualité et de la bisexualité masculine par l'histoire tragique et criminel en lien avec un policier[164].
Un virus sans morale(en) (Ein Virus kennt keine Moral) de Rosa von Praunheim (Allemagne) ; drame, comédie, science-fiction qui traite de l’homosexualité masculine et du VIH/sida et des discriminations liées à la maladie[166].
Caravaggio de Derek Jarman (Royaume-Uni) ; traite à partir d'un personnage historique d'un trio amoureux de deux hommes et une femme.
Le Déclin de l’empire américain (The Decline of the American Empire) de Denys Arcand (Québec) ; comédie dramatique qui traite de l’homosexualité masculine, des maladies sexuellement transmissibles, dont le VIH/sida, ainsi que du travestissement ; il a reçu de nombreuses récompenses.
La Loi du désir (La ley del deseo) de Pedro Almodóvar (Espagne) ; comédie dramatique qui traite de l’homosexualité masculine et de la violence du désir, de la transité et de l'inceste ; il est le premier à recevoir un Teddy Award.
Les Lunettes d'or (Gli occhiali d’oro) de Giuliano Montaldo (Italie) ; drame qui traite de l’homosexualité masculine et de la répression moral à son encontre conduisant le personnage au suicide.
Miss Mona de Mehdi Charef (France) ; drame qui traite du travestissement et de la transidentité masculine ainsi que de la prostitution masculine homosexuelle dans un cadre de criminalité[168] ; il fut nommé aux César.
Encore (once more) de Paul Vecchiali (France) ; traite de l’homosexualité et de la bisexualité masculine, de la découverte de son homosexualité dans le conte du VIH/sida.
Torch Song Trilogy de Paul Bogart (États-Unis) ; comédie dramatique qui traite de l’homosexualité masculine et du travestissement à partir du parcours d'une histoire personnelle qui aborde les thèmes de l’acceptation de son homosexualité, de l’amour, de l’homoparentalité et de l’homophobie[107] ; il a été distingué.
La Fête des pères de Joy Fleury (France) ; comédie qui traite de l’homosexualité masculine ; de l'homoparentalité et de la gestation pour autrui par le truchement d'un trio[171].
Paris is Burning de Jennie Livingston (États-Unis) ; film documentaire sur la communauté LGBT afro-américaine et hispanique à l'origine du "voguing"[173] ; il est primé au festival de Sundance ; son influence est reconnue.
Beignets de tomates vertes (Le secret est dans la sauce au Québec) (Fried Green Tomatoes) de Jon Avnet (États-Unis) ; comédie dramatique qui traite de la relation entre deux femmes et de l'enfant de l'une d’elles qu'elles élèvent ensemble[107], il a reçu de nombreuses distinctions.
My Own Private Idaho de Gus Van Sant (États-Unis) ; drame et roadmovie qui traite de l'amour impossible entre deux prostitués masculins l'un hétérosexuel l'autre homosexuel en quête d'identité[107] ; il a reçu de nombreuses distinctions
Le Cahier volé de Christine Lipinska (France, Italie et Suisse) ; comédie dramatique qui traite de l'homosexualité et de la bisexualité féminine dans le cadre d'un récit initiatique tragique de découverte de l’amour dans le cadre un outing et des discriminations[98] ; il a été présenté en sélection à la Mostra de Venise.
Claire of the Moon de Nicole Conn (États-Unis) ; film dramatique qui traite de l’homosexualité et de la bisexualité féminine et de la découverte de sa bisexualité.
Le Ciel de Paris de Michel Béna (France) ; comédie dramatique qui traite de l'homosexualité masculine au sein d'un trio aboutissant à des amours impossibles[182].
Hessed Mufla (Amazing Grace) d'Amos Guttman(en) (Israël) ; traite de l'homosexualité masculine et du VIH/sida ; il a été récompensé dans un festival LGBT.
Seul, avec Claude (Being at Home with Claude) de Jean Beaudin (film québécois) ; traite de l’homosexualité masculine mettant en jeu un amour morbide ; a obtenu une récompense.
Voor een verloren soldaat (Pour un soldat perdu) Roeland Kerbosch ; drame qui traite de la relation d'un jeune garçon mineur et d'un jeune homme au cours de la Seconde Guerre mondiale et comment cette passion a marqué l'existence de ce premier
Swoon de Tom Kalin(en) ; drame qui traite de l’homosexualité masculine à partir de personnage réel criminel[107]
Garçon d’honneur (Xi yan) d’Ang Lee ; comédie romantique qui traite de l'homosexualité masculine aborde le thème du coming oug et de l’acceptation de son homosexualité par sa famille[107] ; il a reçu plusieurs distinctions, dont un Ours d'or.
Petite Fièvre des vingt ans (Hatachi no binetsu)[193] de Ryōsuke Hashiguchi ; comédie dramatique qui traite de l’homosexualité masculine, de la découverte et de son acceptation ainsi que de la prostitution homosexuelle masculine[194].
Philadelphia de Jonathan Demme (États-Unis) ; drame qui traite de l'homosexualité masculine et des discriminations en raison de l'homosexualité et au malade du VIH/sida[107] ; il a reçu de nombreuses distinctions, dont deux Oscars ; il connaît un bon accueil et une postérité.
Villa Mauresque de Patrick Mimouni France Portugal ; fiction qui traite de l’homosexualité et de la bisexualité masculine autour d'une errance personnelle et sentimentale et de destins tragiques[réf. souhaitée] ; il a reçu quelques récompenses.
Zero Patience de John Greyson ; film musical qui traite de l'homosexualité masculine et des débuts de l’épidémie du VIH/sida
Les Amoureux de Catherine Corsini (France) ; drame romantique qui traite de la découverte de son homosexualité masculine ; il a reçu une récompense.
Créatures célestes (Heavenly Creatures) de Peter Jackson ; drame qui traite de l’homosexualité féminine à l'adolescence et de l’éveil des sentiments dans une société homophobe ; il a remporté un Lion d'argent.
No Ordinary Love de Doug Witkins États-Unis ; film policier qui traite de l'homosexualité et de la bisexualité masculine autour d'une intrigue criminelle.
Les nouveaux mecs (titre original : Der bewegte Mann), de Sönke Wortmann ; comédie qui met en scène les relations entre hétérosexuels et homosexuels, dans des situations cocasses. Le film est considéré comme un film culte en Allemagne.
Priscilla, folle du désert (The Adventures Of Priscilla, Queen Of The Desert) de Stephen Elliott ; comédie dramatique, roadmovie qui traite de la culture queer, avec un personnage transgenre et gay, ainsi que de l'homophobie, de la transphobie et de l'homoparentalité[107] ; il a reçu de nombreuses distinctions ; il a une notoriété et une postérité.
Les Roseaux sauvages d'André Téchiné France ; drame qui traite de l’homosexualité masculine de la découverte de sa sexualité à l'adolescence et du coming out dans la France de la guerre d'Algérie ; il a reçu plusieurs distinctions, dont plusieurs Césars.
Entretien avec un vampire (Interview With The Vampire) de Neil Jordan (États-Unis) ; fantastique, horreur qui traite de l’homosexualité et de la bisexualité masculine ainsi que de l'homoparentalité à partir du thème du film de vampires ; il a reçu de nombreuses récompenses.
Gazon maudit de Josiane Balasko ; comédie qui traite de la bisexualité et de l’homosexualité féminine au sein de ménage à trois ainsi que de l’homoparentalité ; il est un des premiers à aborder ces sujets dans une comédie de mœurs grand public[198], il reçoit plusieurs distinctions, dont aux César et aux Golden Globes.
When Night Is Falling, ou Quand la nuit tombe au Québec de Patricia Rozema ; drame, romance saphique qui traite de la bisexualité et de la découverte de son homosexualité féminine ainsi que de la religion et des discriminations à l'égard des LGBT[205].
Extravagances (TQ : À Wong Foo, merci pour tout Julie Newmar) (To Wong Fu Thanks for Everything, Julie Newmar) de Beeban Kidron (États-Unis) ; comédie dramatique qui traite du travestissement au travers du roadmovie de 3 drag queens dans l’Amérique profonde[206].
À toute vitesse de Gaël Morel ; traite de l'homosexualité masculine au travers d'un des personnages.
Beautiful Thing de Hettie MacDonald(en) (Royaume-Uni) ; téléfilm sorti en salles, comédie dramatique qui est un des premiers téléfilms à montrer une vraie relation amoureuse entre deux adolescents de même sexe, abordant plusieurs thèmes sur l'homosexualité.
Fête fatale ou Le Dernier Anniversaire (It’s My Party) de Randal Kleiser avec Eric Roberts et Gregory Harrison ; drame qui traite de l'homosexualité masculine et du VIH/sida, basé sur une histoire vraie il traite de la manière de vivre la maladie par le suicide
Birdcage (La Cage de ma tante au Québec) de Mike Nichols (États-Unis) ; comédie qui traite de l’homosexualité masculine, du travestissement de scène, de l’homoparentalité ; il est un remake de La Cage aux folles.
Bound d'Andy et Larry Wachowski (États-Unis) ; thriller qui traite de l’homosexualité et de la bisexualité féminine et de la découverte de son homosexualité[212] ; il a fait l'objet de censure pour sa sortie aux États-Unis ; il a reçu plusieurs distinctions.
Crash de David Cronenberg (Canada Royaume-Uni) ; drame, thriller érotique qui traite de la bisexualité masculine[réf. souhaitée] et du fétichisme de l'accident ; il a reçu un accueil moyen.
Dakan de Mohamed Camara (Guinée France) ; traite de l'homosexualité masculine par l'histoire d'amour de deux jeunes hommes qui se heurte aux oppositions familiales en territoire malinké. Dakan est le tout premier film africain à aborder le thème de l'homosexualité.[réf. souhaitée] Il a reçu une récompense.
Happiness de Todd Solondz (États-Unis) ; traite de la pédophilie gay d'un homme marié dans le cadre d'une critique de la société du New Jersey ; ce qui a provoqué une controverse à ce sujet.[réf. souhaitée]
Une vie normale (Hollow Reed) d'Angela Pope (AllemagneEspagneRoyaume-Uni) ; drame qui traite de l'homosexualité masculine et de son coming out en tant qu'homme et père marié hétérosexuel ; il a reçu une récompense.
Killer Kondom (titre original : Kondom des Grauens), de Martin Walz(de) (Allemagne, Suisse) ; horreur, comédie qui traite de l'homosexualité masculine au travers du personnage principal d'un film fantastique.
East Palace West Palace (Derrière la cité interdite) (东宫西宫, Dōng gōng xī gōng) de Zhang Yuan (Chine) ; drame qui traite de l'homosexualité masculine et de sa répression par la police en mettant en scène créant une relation ambivalente ; C'est le premier[214] film à évoquer ouvertement l'homosexualité en Chine. Il a provoqué une censure du gouvernement chinois lors de sa sortie, qui a confisqué le passeport de Zhang Yuan pour l'empêcher de venir présenter son film au Festival de Cannes 1997.
Une robe d'été de François Ozon court métrage (France) ; traite de l'homosexualité et de la bisexualité masculine à l'adolescence ; il a été primé.
Les Voleurs d'André Téchiné (France) ; drame, thriller qui traite de l’homosexualité et de la bisexualité féminine ; il aborde le travestissement de scène et l'homosexualité masculine[réf. souhaitée] dans le cadre du banditisme ; il a reçu plusieurs distinctions
All Over Me d'Alex Sichel ; comédie dramatique qui traite de la prise de conscience de son homosexualité par une jeune fille dans un contexte homophobe ; primé par un Teddy Award.
Bent de Sean Mathias ; drame qui traite de l'homosexualité masculine sous le IIIe Reich ; il a reçu plusieurs distinctions ; il est basé sur une pièce éponyme de Broadway.
Defying Gravity(en) de John Keitel (États-Unis) ; drame, romance qui traite de l’homosexualité masculine au travers de l’homophobie et de l’acceptation et de la dissimulation de son homosexualité dans un milieu empreint de préjugé et de stéréotype envers les lGBTI+[216].
In and Out (également écrit In & Out[218]) de Frank Oz (États-Unis) ; comédie gay qui traite de l’homosexualité masculine de l’acceptation de son homosexualité de son coming out et des discriminations envers les personnes LGBT[219] ; il a fait l’objet d'une distinction.
Minuit dans le jardin du bien et du mal (Midnight in the Garden of Good and Evil) de Clint Eastwood (États-Unis) ; drame, horreur qui traite de l'homosexualité masculine et du travestissement masculin dans le cadre d'une enquête pour meurtre entre amants ; il a reçu plusieurs distinctions.
Nowhere de Gregg Araki traite de l’homosexualité féminine et masculine et de la bisexualité masculine dans le cadre fantastique d'une jeunesse décadente américaine déjantée et punk ; il est le dernier opus d'une trilogie.
Omelette moyen-métrage de Rémi Lange (France) ; comédie dramatique[225] qui traite de l’homosexualité et de la bisexualité masculine et du coming-out[226].
The Full Monty (Le Grand Jeu au Québec) de Peter Cattaneo (Royaume-Uni) ; comédie qui traite de l’homosexualité masculine et de la découverte de son homosexualité[227] ; il a reçu un important succès commercial et il a reçu de nombreuses distinctions, dont un Oscar ; il a fait l'objet d'une adaptation au théâtre.
Nettoyage à sec d’Anne Fontaine (France) ; traite de la bisexualité, de l'homosexualité et du travestissement masculins, abordant le thème de la découverte de son homosexualité dans un trio et ayant une fin tragique.
Billy’s Hollywood Screen kiss de Tommy O'Haver (États-Unis) ; comédie romantique qui traite de l'homosexualité masculine et des drag queens en abordant le thème de la représentation de l’homosexualité au cinéma.
Bombay Boys de Kaizad Gustad (Inde) ; comédie, drame et policier qui traite de l’homosexualité masculine et de l'exploration de son orientation sexuelle dans le contexte des discriminations à l'égard des LGBT en Inde ; il a subi une censure et a connu un succès inattendu au box-office indien ; il est un des très rares films indiens avec un héros homosexuel[réf. souhaitée].
Comme un garçon (Get Real) de Simon Shore(en) (Royaume-Uni) ; comédie dramatique, romance qui traite de l'homosexualité masculine à l'adolescence[229].
Edge of Seventeen de David Moreton (États-Unis) ; comédie dramatique, romance qui traite de l’homosexualité masculine et féminine à l'adolescence et de l’acceptation de son homosexualité[232] ; il a été distingué dans un festival LGBT.
Folle d'elle de Jérôme Cornuau ; comédie qui traite d’usurpation d'identité d'un homme hétérosexuel se faisant passer pour gay afin de séduire une femme avec la complicité d'un couple d'hommes qui va se marier.
Fucking Åmål de Lukas Moodysson (SuèdeDanemark) ; comédie dramatique, romance lesbienne qui traite de l’homosexualité féminine à l’adolescence par la découverte et l'exploration de son homosexualité dans une petite ville scandinave ; ainsi que de la discrimination et des préjugés homophobes ; il a reçu de nombreuses récompenses et il a connu un bon succès dans son pays.
Hard de John Huckert(en) (États-Unis) ; drame, policier qui traite de l'homosexualité masculine et de la prostitution masculine et l'homophobie dans les milieux de la police en mettant face à face un tueur et un policier gay ; il a été nommé à deux reprises[réf. souhaitée].
Ni Dieux ni Démons (Gods and Monsters) de Bill Condon (États-Unis) ; drame qui traite de l’homosexualité masculine en retraçant les derniers du réalisateur James Whale ; il reçoit plusieurs récompenses, dont un Oscar et un Golden Glob.
L’Objet de mon affection de Nicholas Hytner ; comédie romantique, drame qui traite de la relation entre une femme est un homme homosexuel et de la parentalité qui se présente à eux, il a été distingué.
Pourquoi pas moi ? de Stéphane Giusti (France) ; comédie de mœurs qui traite de l'homosexualité masculine et féminine ainsi que de la bisexualité féminine autour du coming out et de l'acceptation de l'homosexualité par sa famille.
Sexe Intentions, ou Sexual Provocation en Belgique et Un Pari cruel au Québec (Cruel Intentions) de Roger Kumble ; drame qui met en scène un baiser lesbien et un personnage gay dans le placard est victime de chantage[réf. souhaitée]. Il a connu quelques suites et adaptations.
Sexe et autres complications (The opposite of sex) de Don Roos (États-Unis) ; comédie qui traite de l'homosexualité et de la bisexualité masculine en abordant le thème du VIH/sida[234] ; il a reçu de nombreuses distinctions.
Aimée et Jaguar (Aimée und Jaguar) de Max Färberböck ; biographie, drame, romance saphique qui traite de l'amour entre deux femmes que tout oppose dans l’Allemagne nazie ; conduisant l’une à abandonner sa vie conjugale, l'autre connaîtra un destin tragique ; il a reçu plusieurs distinctions, dont Ours d'argent.
Better Than Chocolate, ou Meilleur que le chocolat au Québec, de Anne Wheeler (Canada) ; traite de l’homosexualité féminine ainsi que de la transidentité et du coming out[235] ; il a reçu 2 prix dans des festivals LGBT.
Boys Don’t Cry de Kimberly Peirce ; drame qui traite de la transidentité FvH et de la discrimination jusqu'au meurtre à partir d'une histoire vraie. Il a été récompensé par un Golden Globe et un Oscar.
Le Derrière de Valérie Lemercier (France) ; comédie qui traite de l'homosexualité et du travestissement pour dissimuler son identité.
Lola et Bilidikid (Lola + Bilidikid ; Lola und Bilidikid) (Lola undBilidikid) de E. Kutlig Ataman (Allemagne Turquie) ; traite de la découverte de l'homosexualité et du travestissement masculin dans une famille turque à Berlin[106] ; il a reçu une distinction.
Magnolia de Paul Thomas Anderson (États-Unis) ; drame qui traite de l'homosexualité masculine ; il a reçu de nombreuses distinctions, dont l'Ours d'or et un Golden Globes.
Personne n'est parfait(e) (Flawless) de Joel Schumacher (États-Unis) ; comédie qui traite de la transidentité et du travestissement masculin en confrontant une drag queen à un « vrai mâle »[237]
Tabou (Gohatto) de Nagisa Ōshima (Japon) ; drame qui traite de l’homosexualité masculine dans le contexte militaire des samouraïs et du tabou de l’homosexualité dans ce milieu ; il a été présenté en compétition à Cannes.
Le Talentueux Mr Ripley, ou L'Énigmatique M. Ripley au Québec (The Talented Mr Ripley) de Anthony Minghella (États-Unis) ; thriller qui traite de homosexualité masculine à partir d'une usurpation d'identité qui conduira le personnage dans une spirale criminelle ; il a reçu de nombreuses distinctions, dont des nominations aux Oscars, à la Berlinale ou encore aux Golden Globes.
Tout sur ma mère (Todo sobre mia madre) de Pedro Almodóvar (Espagne France) ; drame qui traite de l’homosexualité féminine et de la transidentité ainsi que de la prostitution trans et du VIH/sida ; il a reçu plusieurs récompenses, dont à Cannes ainsi qu'un César et un Oscar.
But I'm a Cheerleader de Jamie Babbit (États-Unis) ; comédie qui traite de l’homosexualité féminine à l'adolescence de la découverte de son homosexualité dans le cadre des thérapies de conversion ; il a reçu quelques distinctions.
Billy Elliot de Stephen Daldry (Royaume-Uni) comédie dramatique qui aborde les stéréotypes de genre et d'orientation de genre à l'enfance et à l'adolescence[239] ; il reçoit plusieurs distinctions ; il a fait l'objet d'un livre et sa notoriété se poursuit.
O Fantasma de João Pedro Rodrigues (Portugal) ; traite de l'homosexualité masculine en suivant un personnage dans sa quête de partenaires sexuels avec entre autres des scènes érotiques, dont BDSM ; il a reçu plusieurs récompenses.
Satreelex, the Iron Ladies (สตรีเหล็ก ou Satree lek) de Yongyoot Thongkongtoon(en) (Thaïlande) ; comédie sportive qui traite à partir d'une histoire vraie d'homosexualité, de transidentité et de travestissement dans le sport et des discriminations ; il a connu un grand succès en Thaïlande et a reçu de nombreuses distinctions[réf. souhaitée].
Le Club des cœurs brisés (The Broken Hearts Club: A Romantic Comedy) de Greg Berlanti (États-Unis) ; comédie romantique qui traite de l’homosexualité masculine par le récit d'une communauté d'amis ;
Un couple presque parfait (The next best thing) de John Schlesinger (États-Unis) ; comédie dramatique qui traite de l'homosexualité et de la bisexualité masculine ainsi que l'homoparentalité ; il a reçu quelques distinctions.
Vies brûlées (Plata quemada) de Marcelo Piñeyro ; traite de l'homosexualité masculine en suivant le parcours violent d'un couple de délinquants ; il a été distingué.
L'Auberge espagnole de Cédric Klapisch (FranceEspagne) ; comédie dramatique qui traite de l'homosexualité féminine et masculine, pour ce dernier par une usurpation d'orientation ; il a été un succès commercial et a reçu de nombreuses distinctions.
Avant la nuit (Before Night Falls) de Julian Schnabel (États-Unis) ; biographie, drame qui traite de l'homosexualité masculine d'une personnalité sous la répression du régime castriste qui en subit les discriminations et meurt en exil en se suicidant, atteinte du VIH/sida ; il a reçu de nombreuses distinctions, dont à Venise.
Circuit(en) (Party boys) de Dirk Shafer(en) (États-Unis) ; drame qui traite de l’homosexualité masculine et du outing dans la police ; des violences envers les personnes LGBTI+ ; de l’acceptation de son homosexualité et le monde de la fête LGBTI+ et de personnes LGBTI+ ayant une fin tragique[247],[248].
Frogz de Guillaume Tunzini (France) ; comédie qui traite de l'homosexualité masculine et du travestissement au service de l’intrigue dans le cadre d'un mariage hétérosexuel imposé à une personne LGBTI+[250],[251].
Hedwig and the Angry Inch (ou Québec : Hedwig) de John Cameron Mitchell (États-Unis) ; traite de la transidentité féminine, de l’homosexualité masculine et du mariage homosexuel qui conduit à une transition ainsi que de l’amour impossible ou encore de viol pédophile gay incestueux[252] ; il a reçu de nombreuses distinctions, dont à la Berlinale et Sundance ; il connaît une postérité liée à la comédie musicale à laquelle il est tiré ;
Histoire d'hommes à Pékin (Lán Yǔ) de Stanley Kwan ; drame, romance qui traite de l'homosexualité masculine et de l'acceptation de son homosexualité à partir de la prostitution homosexuelle masculine dans le contexte de la chine ; il a reçu une récompense ;
Hush! de Ryōsuke Hashiguchi (Japon) ; comédie dramatique qui traite de l'homosexualité masculine et de l’homoparentalité ; il a reçu plusieurs récompenses.
Mulholland Drive de David Lynch ; drame qui traite de l’homosexualité féminine ; il évoque un amour impossible d'un personnage criminel et ayant une fin tragique ; il a reçu de nombreuses distinctions, dont une palme et un César ; son importance est largement reconnue par la critique ;
Rebelles (Lost and Delirious) de Léa Pool (Canada) ; drame, romance saphique qui traite de l'homosexualité féminine et de l'acceptation de son homosexualité dans le cadre d'un mentionna de jeunes filles ; il a reçu quelques distinctions.
Tableau de famille (Le fate ignoranti) (His Secret Life) de Ferzan Özpetek (Italie) ; comédie dramatique qui traite de l’homosexualité et de la bisexualité masculine et de la vie dissimulée et de l’acception de l'homosexualité d'un proche ainsi que du VIH/sida ; il a reçu une distinction.
Chouchou de Merzak Allouache (France) ; comédie qui traite du travestissement trans à partir d'un récit d'intégration d'une personne sans papier ; il aborde les thèmes de la tolérance et des discriminations envers les personnes LGBTQ ; et le thème du mariage[254],[255], En France il a connu un bon succès en salle et a inspiré d'autres humoristes.
Loin du paradis (Far from Heaven) de Todd Haynes (États-Unis) ; mélodrame, film romantique qui traite de l'homosexualité masculine de la répression sociale de l’homosexualité et de son entourage dans l’Amérique des années 1950 qui la considère comme une pathologie ; il aborde le sujet du point de vue de l’épouse d'un mari homosexuel ; il a été largement récompensé.
Yossi et Jagger (יוסי וג'אגר) de Eytan Fox (Israël) ; traite de l’homosexualité masculine dans l’armée israélienne ; de l’homosexualité qui y est tue ; le récit s’achevant par une fin tragique ; il a fait l’objet d'une suite : Yossi.
The Trip de Miles Swain (États-Unis)[259] ; traite de l'homosexualité masculine et des stéréotypes et discriminations envers les LGBTI+ en raison d'idéologies ainsi que de personnages cachant et niant leur homosexualité[260].
Alexandre (Alexander) d'Oliver Stone ; biographie, histoire, péplum, aventure qui traite de la bisexualité d'un personnage historique ; Il a reçu de nombreuses distinctions.
Fighting Beauty (ou Beautiful Boxer) d'Ekachai Uekrongtham (Thaïlande) ; action, drame basé une histoire vraie qui traite de la transidentité féminine et de sa transition en venant du milieu sport ; il a reçu plusieurs récompenses.
La Tentation d'Aaron (Latter Days) de C. Jay Cox (États-Unis) ; comédie romantique qui traite de l'homosexualité masculine et de la religion mormone, de l’acceptation de son homosexualité, des discriminations et du rejet en raison de son homosexualité, et des thérapies de conversion ; il a été primé aux États-Unis.
Mambo Italiano de Émile Gaudreault (Québec) ; comédie qui traite de l’homosexualité et de la bisexualité masculine par contrainte sociale, de sa découverte, des préjugés et stéréotypes culturels envers l'homosexualité et du coming out et d'homosexuel dans le placard[réf. souhaitée][261] ;
Tarik el hob de Rémi Lange (France) ; drame qui traite de homosexualité et de la bisexualité masculine de la découverte et de l’acceptation de son homosexualité dans les milieux des jeunes d'origine maghrébine[262].
Échappée Belles(en) (Saved by the Belles) de Ziad Touma(en) (Québec) ; comédie qui traite de la transidentité féminine en tant que personnage guide d'une quête d'identité[263].
La Fenêtre d'en face(La finestra di Fronte) de Ferzan Özpetek (Italie) ; traite de l’homosexualité masculine pendant la Seconde Guerre mondiale[265] ; il a fait l'objet de quelques distinctions.
Connie et Carla (Connie and Carla) de Michael Lembeck (États-Unis) ; comédie sentimentale, film musical qui traite du travestissement de femme en drag queen pour le besoin de l'intrigue.
La Mauvaise Éducation (La mala educación) de Pedro Almodóvar (Espagne) ; traite de l'homosexualité et du travestissement masculin et de la pédophilie homosexuelle ; il suit le parcours des personnages de l’enfance à l'âge adulte[267] ; il a reçu plusieurs distinctions.
Monster de Patty Jenkins (États-Unis) ; thriller qui traite de l'homosexualité et de la bisexualité féminine à partir d'un fait réel dans le cadre criminel et des tentatives pour faire évoluer sa condition liée à la prostitution dont l'issue sera tragique ; il a reçu plusieurs récompenses, dont un Golden Globe et un Ours d'argent.
Mysterious Skin de Gregg Araki (États-Unis Pays-Bas) ; drame qui traite de l’homosexualité masculine au travers de la construction de la sexualité de personnages ayant subi des abus sexuels dans leur enfance ; il a reçu plusieurs récompenses.
Summer Storm (ou La Tempête d'été au Québec) (Sommersturm) de Marco KreuzpaintnerAllemagne ; drame romantique qui traite de l'homosexualité masculine à l'adolescence et dans le sport, de la découverte de son homosexualité.
Tu marcheras sur l'eau (Walk on Water, en hébreu ללכת על המים), d'Eytan Fox ; film dramatique, thriller qui traite de la mémoire nationale allemande au travers d'un jeune homme homosexuel.
Wild Side de Sébastien Lifshitz ; traite de la transidentité homme vers femme et de la prostitution de personnage LGBT au travers d'un trio relationnel ; il a reçu un Teddy Award.
C.R.A.Z.Y. de Jean-Marc Vallée ; comédie dramatique qui traite de la découverte et de l’acceptation de son homosexualité masculine entre l'enfance et jeune homme dans une famille marquée par la religion ; il a rencontré un très grand succès d'audience, tant au Canada qu'à l'étranger ; il a reçu plusieurs distinctions.
Je t'aime, toi (Я Люблю Тебя) d’Olga Stolpovskaja et Dmitry Troitsk (Russie) ; comédie qui traite de l’homosexualité et de la bisexualité masculine, du coming-out et de la découverte et l'acceptation de son homosexualité ; il aborde également le thème de la transidentité et de la transition ainsi que des préjugés et des discriminations culturelles envers les LGBTI+ en Russie et aussi de l'homoparentalité[93] ; C'est aussi le premier film russe à traiter ouvertement de l'homosexualité.[réf. souhaitée]
Le Secret de Brokeback Mountain (Brokeback Mountain) d’Ang Lee ; drame qui traite de l'amour entre deux hommes dans l’Amérique rural des années 1960 à 1980. il est l'un des plus gros succès pour un film traitant de l'homosexualité ; il a reçu de très nombreuses récompenses, dont un Lion d'or.
Le Temps qui reste de François Ozon (France) ; film dramatique qui traite de l’homosexualité masculine par un personnage confronté à sa mort à venir ;
Ma saison super 8 d'Alessandro Avellis (France) comédie, drame qui traite de l’homosexualité masculine et de la lutte pour les droits homosexuel et féministe du début des années 1970.
Transamerica de Duncan Tucker(en) ; comédie dramatique qui traite d'un parcours initiatique autour de la transition d'une femme ainsi que de la prostitution, de la pornographie homosexuelle masculine, et de viol homosexuel sur un mineur[272] ; il a reçu de nombreuses distinctions, dont à Cannes comme à Berlin.
Truman Capote (Capote) de Bennett Miller (Canada États-Unis) ; drame qui traite de l'homosexualité masculine à partir de la biographie d'une personnalité[273] ; il a reçu plusieurs distinctions, dont un Golden Globe et Oscar.
20 centimètres (20 centímetros) de Ramón Salazar (Espagne) ; traite de la transidentité de femme tans et de sa transition dans le contexte de la prostitution de personne trans ainsi que de la pansexualité ; il a reçu deux récompenses.
Boy Culture de Q. Allan Brocka (États-Unis) ; romance qui traite de l’homosexualité masculine ; il aborde la prostitution masculine la recherche de l’amour et le coming out ; il a reçu quelques distinctions.
2h37 (2:37 ou Two Thirty 7) de Murali K. Thalluri (Australie) ; drame qui traite de l’homosexualité masculine à l'adolescence et de l'acceptation de son homosexualité ; il a été présenté à Cannes et il a reçu d'autres distinctions.
Les Filles du botaniste (植物园; The Chinese Botanist's Daughters) de Dai Sijie (Canada, France); drame, romance qui traite de l’homosexualité féminine comme amour dissimulé et subissant un mariage hétérosexuel par pression sociale ;
L’Homme de sa vie de Zabou Breitman ; drame qui traite de la découverte par un homme de sa part d'homosexualité et de l’amour par confronté à un homme homosexuel.
L’Immeuble Yacoubian de Marwan Hamed (Égypte) ; drame qui aborde le thème de l’homosexualité et de la bisexualité masculine dans des relations tragiques dans le l'évolution politique de la société égyptienne de ces cinquante dernières années[59],[277] ;
Loving Annabelle de Katherine Brooks ; drame, romance lesbienne qui traite d'un amour lesbien maître-élève dont la professeure est bisexuelle.
Mala Noche (Bad Night) de Gus Van Sant (réalisé en 1985) ; premier long métrage du réalisateur ; drame qui traite de l’homosexualité masculine et de désir marchandé d'un jeune écrivain avec de jeunes clandestins mexicains à défaut d'obtenir la réciprocité du désir ; il a été sélectionné à Cannes avant sa distribution en Europe.
No Regret (Huhwihaji anha ; 후회하지 않아) de Lee Song-hee-il (Corée du Sud) ; drame qui traite de l'homosexualité masculine et de la prostitution homosexuelle masculine ; il a reçu plusieurs distinctions.
Poltergay d'Éric Lavaine ; traite de l’homosexualité masculine à partir d'une parodie la vie festive gay.
La Révolution du désir (ancien titre : Phare, fard, FHAR !) film documentaire d'Alessandro Avellis (France) qui explore la nébuleuse qui a donné vie aux mouvements de libération sexuelle en France (le FHAR, le MLF, etc.).
Ronde de nuit (Ronda nocturna) d'Edgardo Cozarinsky ; drame qui traite de l’homosexualité masculine et de la prostitution masculine à travers le parcours d'une nuit d'un jeune homme à Buenos Aires[278] ; Prix de l'avenir des Journées Cinématographiques Internationales de Paris.
Shortbus de John Cameron Mitchell ; traite de la recherche d'épanouissement sexuel à partir de homme homosexuel, de femme homosexuelle et bisexuelle et de travesti, il met en scène plusieurs relations en trio amoureux et sexuels entre autres dans le cadre de fêtes et d'orgies sexuelles hebdomadaires. La plupart des scènes sexuelles du film ne sont pas simulées.
The History Boys (History Boys) ou (Wild Generation) de Nicholas Hytner (Royaume-Uni) ; comédie dramatique qui traite de l’homosexualité masculine et la découverte de son homosexualité dans le cadre de collège anglais et de relation impossible et tragique
V pour Vendetta (V for Vendetta) de James McTeigue (États-Unis) ; anticipation, thriller, science-fiction qui traite des discriminations envers les minorités, dont les personnes LGBT avec un personnage secondaire homosexuel masculin et un autre féminin ; il a reçu un bon accueil du public et de la critique ; il a reçu de très nombreuses distinctions.
Another Gay Movie de Todd Stephens ; comédie qui traite de l'homosexualité masculine et féminine dans le style du film américain de récit initiatique de la perte de la virginité qu'il parodie.
Au-delà de la haine de Olivier Meyrou ; film documentaire sorti en salle qui traite d'un crime homophobe et propose un essai de compression du geste des auteurs ; il a reçu un Teddy Award.
The Bubble (en hébreu הבועה ou Ha-Buah d’Eytan Fox (Israël) ; film dramatique qui traite de l’homosexualité masculine dans le contexte d'un amour impossible[réf. souhaitée] entre Israélien et palestinien ainsi que le rejet de l’homosexualité en raison de la culture et de la religion ; il a reçu plusieurs distinctions.
Cut Sleeve Boys de Ray Yeung (Hong Kong, Royaume-Uni) ; traite de l'homosexualité masculine à partir de personnage chinois immigré en Angleterre et confrontés à la fin de leur jeunesse ; il aborde aussi le thème du travestissement[280].
Dancing Queens (Razzle Dazzle / A Journey Into Dance) de Darren Ashton.
De l’autre côté (Auf der anderen Seite - Yaşamın Kıyısında) de Fatih Akın (Allemagne) ; drame qui traite de l’homosexualité féminine entre plusieurs communautés ; il a reçu plusieurs distinctions dont à Cannes.
L’Éveil de Maximo Oliveros (Ang Pagdadalaga ni Maximo Oliveros) de Auraeus Solito ; traite de l’affection qu'un jeune garçon peut avoir à l'égard d'un homme adulte bienveillant sans que celui-ci n'abuse de son autorité[réf. souhaitée][281] ; il a été distingué à plusieurs reprises, dont plusieurs fois récompensé à Berlin.
Naissance des pieuvres de Céline Sciamma (France) ; drame qui traite de l'homosexualité féminine à l'adolescence par la découverte de sa sexualité[282] ; il a reçu plusieurs distinctions dont plusieurs nominations aux César.
Save Me de Robert Cary (États-Unis) ; traite de l’homosexualité masculine et de la religion ; des thérapies de conversion
Shelter de Jonah Markowitz (États-Unis) ; comédie dramatique qui traite de l'homosexualité masculine et de la découverte de son homosexualité ; il a reçu plusieurs distinctions.
Surveillance de Paul Oremland ; thriller qui traite de l'homosexualité masculine et d'une affaire d'État.
The World Unseen de Shamim Sarif (Royaume-Uni) ; comédie dramatique, romance lesbienne qui traite de la naissance d'une relation entre deux femmes qui ne pouvaient se rencontrer dans le contexte de l'Apartheid[283].
Les Témoins de André Téchiné ; film dramatique qui traite de l’homosexualité et de la bisexualité masculine et de l’épidémie VIH/sida ; il a reçu quelques distinctions.
Quand Chuck rencontre Larry (au Québec : Je vous déclare Chuck et Larry) (I now Pronouce You Chuck and Larry) de Dennis Dugan (États-Unis) ; comédie romantique qui traite de l’homosexualité masculine et du mariage gay par l'usurpation d’orientation sexuelle ;
Another Gay Movie 2 (Another Gay Sequel : Gays Gone Wild) de Todd Stephens ; comédie qui traite de l’homosexualité masculine dans le cadre du Spring Break.
Antarctica, de Yair Hochner (Israël) ; drame initiatique qui traite de l'homosexualité masculine par des relations croisées entre plusieurs personnages à Tel Aviv[284],[75].
Dostana de Tarun Mansukhani (Inde) ; comédie qui aborde l'homosexualité masculine comme dissimulation de l'hétérosexualité ; le film a fait polémique dans le contexte indien de la pénalisation de l'homosexualité
Dream Boy de James Bolton (États-Unis) ; drame qui traite de l’homosexualité masculine à l'adolescence, de la découverte de son homosexualité ainsi que de l'homophobie dans le contexte de l’Amérique des années 1970[285].
Élève libre de Joachim Lafosse (France - Belgique) ; film dramatique qui traite de l’homosexualité et de la bisexualité masculine à propos de l'initiation sexuelle d'un adolescent manipulé par des adultes[18] ; il a reçu plusieurs distinctions.
Harvey Milk (Milk) de Gus Van Sant (États-Unis) ; biographie de Harvey Milk, premier homme politique américain ouvertement homosexuel et qui fut assassiné ; il a reçu de nombreuses distinctions et a subi de la censure aux Samoa.
I Can't Think Straight de Shamim Sarif (Inde ; Royaume-Uni) ; romance sentimentale qui traite de l’homosexualité féminine à l'intersection de plusieurs cultures qui n'acceptent pas l’homosexualité ;
Embrassez le marié ! (Kiss The Bride) de C. Jay Cox (États-Unis) ; comédie qui traite de l'homosexualité masculine à partir d'une histoire vécue à l'adolescence.
Les Joies de la famille (Patrik 1,5) (Patrik, Age 1.5) d’Ella Lemhagen (Suède) ; comédie dramatique qui traite de l’homosexualité masculine et de l’homoparentalité et de l'homophobie[96] ; il a reçu quelques récompenses ; il a reçu une critique sévère.
Plan B de Marco Berger (Argentine) ; comédie dramatique qui traite de la bisexualité masculine avec la rencontre de deux hommes et de la découverte de leur homosexualité.
Sagan de Diane Kurys (France) ; film et téléfilm biographique qui aborde le thème de l'homosexualité et de la bisexualité féminine[286],[287] ; le téléfilm a reçu une récompense.
Watercolors de David Oliveras(en) (États-Unis) ; drame, romance qui traite de l'homosexualité masculine au travers d'un parcours de vie et de l’acceptation de son homosexualité à l'adolescence[réf. souhaitée] ; il a reçu plusieurs récompenses.
Were the World Mine de Tom Gustafson (États-Unis) ; film musical qui traite de l’homosexualité masculine à l'adolescence et des discriminations liées à l'homosexualité et de la découverte de son homosexualité[289] ; il a reçu de nombreuses récompenses.
Contracorriente de Javier Fuentes-León (Pérou, Colombie, France ; Allemagne) ; drame qui traite de l'homosexualité masculine et des discriminations liées à l'homosexualité dans une communauté aux traditions religieuses ; il a reçu plusieurs distinctions et a représenté le Pérou aux Oscars.
Donne-moi la main de Pascal-Alex Vincent (France) ; drame qui traite de l'homosexualité et de la bisexualité masculine à l’adolescence par la découverte de celle-ci au cours d'un parcours initiatique[291].
Eloïse de Jesús Garay (Espagne) ; drame, romance saphique qu traite de l'homosexualité féminine et de la découverte de son homosexualité d'une personne dans le coma ;
Jamais sans toi (Do Começo ao Fim) d’Aluizio Abranches(en) (Brésil) ; drame qui traite de l’homosexualité masculine et de l’inceste par une relation entre deux demi-frères ;
J'ai tué ma mère de Xavier Dolan (Québec) ; biographie qui traite de l’homosexualité masculine à l'adolescence et vers le passage à l'âge adulte ; il évoque également l'homophobie[292] ; il reçoit un bon accueil du public dans son pays et reçu de nombreuses distinctions, dont à Cannes.
Je te mangerais de Sophie Laloy (France) ; drame, romance qui traite d'homosexualité et de bisexualité féminine comme quête d'amour et d'affection possessif.
Un Noël très très gay (Make the Yuletide Gay) de Rob Williams(en) (États-Unis) ; comédie romantique qui traite de l’homosexualité masculine avec la dissimulation de son homosexualité à sa famille ;
Nuits d'ivresse printanière (Chun feng chen zui de ye wande - Spring Fever) de Lou Ye (Chine, (France) ; comédie dramatique qui traite de l’homosexualité masculine ; de la bisexualité et de la transidentité en Chine ; il a été récompensé à Cannes.
Tu n'aimeras point (עיניים פקוחותEyes Wide Open) de Haim Tabakman(de) (Israël) ; traite de l'homosexualité masculine et de la religion juive et de la découverte et de l’acceptation de son homosexualité ainsi que de l'intolérance et du rejet en raison de la culture religieuse ; il a été présenté au Festival de Cannes 2009.
Bloomington de Fernanda Cardoso (États-Unis) ; drame, romance lesbienne qui traite de l’homosexualité féminine et de l'éveil à la sexualité à l'adolescence.
Brotherhood (Broderskab) de Nicolo Donato (Danemark) ; drame qui traite de l'amour entre deux hommes dans un contexte de violence homophobe.
Comment t'oublier ? (Como Esquecer) de Malu de Martino (Brésil) ; film dramatique qui traite de l’homosexualité féminine et des difficultés après une rupture dont le deuil est impossible à faire.
Dog Pound (La Fourrière au Québec) de Kim Chapiron (États-Unis) ; drame qui traite du viol comme outil de violence dans un établissement pénitentiaire pour jeune homme mineur[293] ; il a reçu quelques distinctions.
Elena Undone de Nicole Conn (États-Unis) ; drame, romance lesbienne qui traite de l'homophobie dans un milieu religieux dans le contexte du refus du mariage aux couples homosexuels ; et traite de la naissance d'un amour lesbien en marge de ce milieu.
Habitación en Roma (titre international : Room in Rome) de Julio Medem (Espagne) ; drame, romance lesbienne dans un huis clos éphémère et torride entre deux femmes (homosexuel pour l'une et hétérosexuel pour l'autre).
Homme au bain de Christophe Honoré (France) ; drame qui traite de la lente dénaturation d'un amour entre deux hommes ; il met en scène une vedette du porno gay dans le rôle principal.
I Love You Phillip Morris de Glenn Ficarra et John Requa (États-Unis) ; comédie dramatique qui traite du coming out d'un homme, ainsi que de son changement de vie et de ses relations successives et des moyens mis en œuvre pour rester proche de son compagnon.
Kaboom de Gregg Araki (États-Unis) ; comédie dramatique, fantastique et science-fiction où le protagoniste et plusieurs autres personnages sont LGB.
Le Ciel en bataille de Rachid B. et Florent Mangeot (France) ; moyen métrage documentaire autobiographique qui traite de l'homosexualité masculine autour de la quête de son identité ; il a reçu plusieurs récompenses.
Le Fil de Mehdi Ben Attia (Tunisie, France) ; traite de l’homosexualité masculine dans un milieu bourgeois francophone tunisien libéral ; il a été interdit de sortie en Tunisie.
Le Premier qui l'a dit (Mine vaganti) de Ferzan Özpetek (Italie) ; comédie dramatique qui traite d'un double coming out de deux frères dans le cadre d'une famille grande bourgeoise d'industriels des Pouilles. Il a reçu plusieurs distinctions.
Black Swan (film), ou Le Cygne noir au Québec de Darren Aronofsky (États-Unis) ; thriller qui traite du lesbianisme comme part sombre d'un personnage. Il a connu une forte reconnaissance du public et des critiques par de nombreuses récompenses.
Romeos (Romeos… anders als du denkst!) de Sabine Bernardi (Allemagne) traite de la transition femme vers homme et de la recherche de modèle d'identification[297] et du contact avec des milieux transphobe et homophobe.
Tomboy de Céline Sciamma (France) ; comédie dramatique qui traite de l’identité de genre à l'enfance (FvH) par une usurpation d'identité. Il a reçu plusieurs distinctions.
Les Tuche suivi de Les Tuche 2 : Le Rêve américain en 2016 et de Les Tuche 3 en 2018 d'Olivier Baroux (France) ; comédie qui traite de l'homosexualité masculine en abordant le thème de la découverte de son homosexualité, du mariage et du divorce ainsi que des craintes et préjugé envers l’homosexualité dans le cadre d'une famille de modeste de chômeurs ; la série de films a connu un succès croisant le troisième se plaçant à la meilleure place du box-office national, il a reçu le César du public, malgré des critiques réservées.
Any Day Now (My Two Daddies) de Travis Fine(en) (États-Unis) ; traite de l'homosexualité et de la bisexualité masculine, du travestissement et de l’homoparentalité dans l’Amérique homophobe des années 1980[299],[300].
Alata (Out in the Dark) (עלטה (ʕalaṭah)) de Michael Mayer (Israël, États-Unis, Palestine) ; drame romantique qui traite d'un amour impossible entre deux hommes entre Israël et Palestine et d'un rejet de l'un d'eux par sa famille quand elle apprend son homosexualité ; il a reçu plusieurs récompenses.
Struck (ou : Struck : Un destin foudroyant) (Struck by Lightning) de Brian Dannelly(en) (États-Unis) ; comédie qui traite de l'homosexualité masculine utilisée comme outil de chantage dans le cadre d'un lycée américain.
Free Fall (Titre original : Freier Fall), de Stephan Lacant(de) (Allemagne) ; film dramatique qui traite de l'homosexualité masculine dans la police et de la découverte de son homosexualité ; il a été distingué à plusieurs reprises.
Tom à la ferme de Xavier Dolan (Québec) ; drame, thriller psychologique qui traite de l'emprise psychologique entre deux hommes qui entretiennent une relation sadomasochiste dans le contexte du deuil ; il a été largement distingué.
Le Beau-frère de Hassène Bélaïd (Algérie) ; court métrage sur la relation entre une femme transgenre et le mari de sa sœur.
Boys (Jongens) de Misha Kamp (Pays-Bas) ; drame qui traite de la découverte de l'homosexualité masculine à l'adolescence au cours d'un récit initiatique estival avec pour thème une compétition sportive.
Fronteras (A escondidas) de Mikel Rueda(eu) (Espagne) ; drame romantique qui traite de l’homosexualité masculine à l'adolescence et de la menace de séparation par les frontières ; il a reçu plusieurs distinctions.
En la gama (En la gama de los grises) de Claudio Marcone (Chili) ; drame romantique qui traite de l'homosexualité masculine et de la découverte de son homosexualité ; il a été distingué entre autres en Amérique latine.
One Kiss (Un bacio) d’Ivan Cotroneo (Italie) ; drame psychologique qui traite de l'homosexualité masculine et de l’homophobie à l'adolescence allant jusqu'au crime[313] ; il a reçu plusieurs distinctions.
Quand on a 17 ans d'André Téchiné (France) ; drame qui traite de l'homosexualité masculine à l'adolescence par la découverte et l'acceptation de son homosexualité et son coming-out ; sélection de la Berlinale 2016.
Les Bums de plage (Beach Rats) d’Eliza Hittman (États-Unis) ; drame qui traite de l'homosexualité chez les adolescents ainsi que de l'acceptation ou non de son homosexualité par son entourage[316] ; il a reçu plusieurs distinctions.
Call Me by Your Name de Luca Guadagnino (Italie, États-Unis, Brésil et France) ; drame romantique initiatique qui traite des identités sexuelles flottantes par l'homosexualité et de la bisexualité masculine et de l'éveil à la sexualité chez les adolescents par une première histoire d'amour estivale ; il a été dans l’ensemble salué par la critique et il a été distingué à de très nombreuses reprises.
D'une famille à l'autre (Mãe Só Há Uma) d’Anna Muylaert (Brésil) ; drame qui traite du thème de la bisexualité et du travestissement masculin à l’adolescence autour des quêtes d’identité[33](et de transidentité)[réf. souhaitée] ; il a reçu une distinction à Berlin.
Carmilla (The Carmilla Movie) de Spencer Maybee (Canada) ; fantastique, comédie romantique saphique qui traite de l'homosexualité féminine à partir d'une web série[318]
Boy Erased (Garçon effacé au Québec) de Joel Edgerton (États-Unis) ; drame qui traite à partir d'une histoire vraie de l'homosexualité masculine à l'adolescence, de l’intolérance religieuse, et des thérapies de conversion[329],[330].
Love, Simon de Greg Berlanti (États-Unis) ; comédie dramatique-romantique qui traite de l'homosexualité masculine à l'adolescence par la découverte et l'acceptation de son homosexualité ainsi que du coming out et de l’outing, du chantage envers les personnes LGBTI+ ; premier film produit par un major du cinéma à mettre en scène une romance entre deux adolescents homosexuels[331],[332] ; il a reçu plusieurs récompenses et une bonne réception de la part du public et des critiques.
Le bal des 41 de David Pablos (Mexique); drame À la fin du XIXe siècle, Ignacio de la Torre épouse la fille du président du Mexique, Porfirio Díaz. Ignacio mène une double vie: il s'élève dans le monde traditionnel de la politique tout en étant membre d'une société clandestine. Un jour, ce dernier se fait surprendre en peine liaison avec un homme.
Les ajouts à cette liste doivent être argumentés et sourcés ; voir les critères dans son introduction.
↑Claudio Marcone, Francisco Celhay, Emilio Edwards, Daniela Ramírez, Matías Torres, Sergio Hernández et Marcial Tagle, « En la gama », sur bm-lille.fr, (consulté le )
↑Ariès Paul, « Visions policières du cinéma : la Ligue, le Maire et le Préfet. La censure locale pendant l'entre-deux-guerres », 1895, revue d'histoire du cinéma, no 16, , p. 86-115 (DOI10.3406/1895.1994.1078).
↑Une fille déguisée en garçon partage les tribulations de son escroc de père. Elle abandonne son déguisement pour séduire un artiste.
↑Céline Lanneau, Étude du genre dans les Claudine de Colette (Master en langues et lettres françaises et romanes, orientation générale, à finalité approfondie), Liège, Faculté de Philosophie et Lettres, , 99 p. (lire en ligne), p. 27
↑cf. notamment le documentaire The Celluloid Closet selon lequel le scénario suggérerait une relation saphique entre Mrs Danvers et Rebecca. Ces interprétations s'appuient surtout sur la scène où Mrs Danvers exhibe et caresse les dessous et manteaux de fourrure de la défunte, puis proclame la passion qu'elle éprouvait à son égard ; sous-entendus repris dans la scène où Max De Winter révèle à sa nouvelle épouse qu'il découvrit peu de temps après son premier mariage « la vraie nature » de Rebecca.
↑Emmanuel Halais, Une certaine vision du Bien, Paris, PUF, coll. « Perspectives critiques », , 266 p. (ISBN978-2-13-056933-6), partie IV, « Les archétypes »
↑Peut être considéré comme en lien avec les thèmes LGBT puisqu'une certaine complicité s'établit peu à peu entre le maître et son serviteur. Rapidement les rôles s'inversent et le maître se retrouve l'esclave de son serviteur, abandonnant tout caractère et toute volonté.
↑(en) Stuart Galbraith, IV, The Toho Studios Story : A History and Complete Filmography, Scarecrow Press, , 528 p. (ISBN978-1-4616-7374-3, lire en ligne), p. 218.
↑Une actrice lesbienne qui incarne une religieuse sur le petit écran est menacée de mort par l'église pour sa vie dissolue.
↑Lise Noël, « Cette sensibilité qu’on dit féminine », Liberté, vol. 26, no 1, , p. 71–78 (ISSN0024-2020 et 1923-0915, lire en ligne, consulté le )
↑Une riche bourgeoise parisienne oisive et insouciante séduit une jeune fille bohème. Cette dernière tombera amoureuse d'un séduisant architecte, que la première séduira à son tour, par jalousie.
↑Deux étudiants qui cohabitent dans le quartier souterrain de Subure où ils vivent de rapines se disputent les faveurs de leur jeune esclave Giton. Les trois comparses, tour à tour désunis et réunis, vont vivre différentes histoires au gré de leurs rencontres.
↑Dans un hôtel de luxe vénitien, un vieux compositeur en villégiature est troublé par un jeune adolescent androgyne. Ce jeune garçon conscience de sa fascination qu'il évoque chez l'artiste qui rêve de l'aborder.
↑Régis Schlagdenhauffen, Triangle rose : La persécution nazie des homosexuels et sa mémoire, Paris, Autrement, , 308 p. (ISBN978-2-7467-1485-4).
↑Un jeune sculpteur bisexuel vit sereinement deux histoires d’amour
↑Un truand londonien ayant un tempérament psychotique et violent ne s'entendant qu'avec sa mère et son jeune amant, il se frotte vite aux autres complices au point même de menacer le succès de l'opération
↑Un couple d'hommes qui tiennent une boite de spectacle de travesties aide au mariage du fils de l’un d'eux avec la fille d'un député ultraconservateur que tout oppose à sa future belle-famille.
↑L'ex-femme du personnage principal l'a quitté pour une autre femme.
↑Hommes entre eux, 1976 du même réalisateur est considéré comme le premier film X homosexuel français. Le premier film pornographique homo et bisexuel connu semble être un autre film français, Le Ménage moderne de Madame Butterfly (vers 1920). Mais pour l'époque du cinéma pornographique moderne, le film de Norbert Terry est la première production française à aborder l'homosexualité. Norbert Terry avait déjà distribué en France un film pornographique gay américain, Histoires d'hommes de Jack Deveau, avant de réaliser lui-même un film du genre.
↑André Caron, « L’empire romain sur vidéo », Séquences : la revue de cinéma, nos 153-154, , p. 71–77 (ISSN0037-2412 et 1923-5100, lire en ligne, consulté le )
↑Arnaud Alessandrin et Karine Espineira, « Chapitre 1. Qu’est-ce que la transphobie ? », dans Sociologie de la transphobie, Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine, coll. « Genre, cultures et sociétés », (ISBN978-2-85892-501-8, lire en ligne), p. 33–71
↑Au début des années 1990, le sida se propage depuis près de dix ans. Les militants d'Act Up-Paris s’activent pour lutter contre l'indifférence générale. Le récit suit, entre autres, la relation entre deux jeunes hommes. Le film reprend de nombreuses luttes politiques d'Act Up, comme la responsabilisation des autorités publiques dans la lutte contre le sida, la nécessité des politiques de prévention publique à destination des publics marginalisés (LGBT, travailleurs du sexe, étrangers, prisonniers, toxicomanes) et d'une éducation sexuelle complète pour les mineurs.
↑Ludovic Béot, « Box office : “120 battements par minute”" fait palpiter le cœur du public », Les Inrockuptibles, (lire en ligne).
↑Un adolescent vit en dehors de Brooklyn, entame une relation avec une fille pour répondre aux injonctions familiales et de ses paires alors qu’il continue dans le plus grand secret à draguer les hommes sur internet.
↑Une femme tombe amoureuse d'une autre femme. Elle est persuadée qu'elle est la femme de sa vie alors que sa vie sentimentale est tumultueuse. Son ex entre en scène pour la reconquérir.
↑Cinq ans après les évènements de la web série diffusée sur la plateforme YouTube, Carmilla n'est plus une vampire, mais une humaine vivante et respirante. L'ancienne vampire semble bien s'adapter à sa nouvelle vie mortelle à Toronto avec sa petite amie, Laura. Cependant, le passé sanglant de Carmilla n'est jamais loin, et finit par les hanter quand Laura commence à avoir des cauchemars liés au passé de Carmilla.
↑Pendant la Première Guerre mondiale, un soldat français déserte et, pour éviter d'être repris et renvoyé au front, se fait passer pour une femme avec l'aide de son épouse.
↑Deux jeunes femmes flirtent dans un champ. Elles recueillent un jeune homme poursuivi par la police. Elles le cachent dans le sous-sol de l'école pour filles.
↑Retrace la vie[réf. souhaitée] du dessinateur et peintre finlandais Tom of Finland qui a durablement influencé la culture gay par ses représentations fantasmatiques et fétichistes d'hommes. « Tom of Finland » (fiche film), sur Allociné.
↑Une jeune serveuse transgenre qui aspire à devenir chanteuse, développe une relation amoureuse avec le propriétaire d'une imprimerie de 20 ans plus âgé qu'elle. Tous deux planifient leur avenir ensemble, mais il meurt soudainement. Elle se voit contrainte d'affronter la famille de son compagnon.
↑Un jeune homme dont le père est pasteur se voit obliger de suivre une thérapie de conversion à la suite de son coming out. Abandonné, il affronte son thérapeute.