Le toponyme Arbérats apparaît sous les formes
Arberas (1125[1]),
Arberatz (1150[1]),
Sanctus Laurentius de Arberaz (1160[1]),
Arberas (XIIIe siècle[2], collection Duchesne volume CXIV[3]),
Arberaz (1350[1]),
Arberatz (1413[1] et 1487[2], contrats d'Ohix[4] pour cette dernière mention),
Arberaz (1513[2], titres de Pampelune[5]),
Arbezats (1793[6], ou an II) et
Arberatz (1975[2], ouvrage de Philippe Veyrin[7]).
Le recensement[9] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[10] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[11], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Arbérats la présence de 7 feux, le second de 26 (24 + 2 feux secondaires).
Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[12] dénombre 40 feux à Arbérats.
↑Jean-Baptiste Orpustan, Ouvrage collectif, Amikuze : Le Pays de Mixe, Éditions Izpegi - 1992 (ISBN978-2-909262-05-5), page 77
↑Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN8483317443 et 9788483317440, OCLC466971263), p. 26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
↑Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
↑Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
↑Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN8483317443 et 9788483317440, OCLC466971263), p. 299.