En France, « un document officiel […] précise qu’un apothicaire ne pourra délivrer un poison que s’il connaît la destination des poisons demandés[2] ».
Première mention, à Strasbourg, de l'enseigne « Au cerf d'or », pour une officine d'apothicaire située à l'emplacement de la « Pharmacie du cerf » encore ouverte en l'an 2000, au 10, place de la Cathédrale[4].
Fondation, au royaume de Hongrie, de l'université de Nagyszombat dont la faculté de médecine, origine de l'actuelle université Semmelweis, à Budapest, n'ouvrira qu'en 1769[5].
Publications
Henry Boivin du Vauroy traduit du grec en français la Physionomie d'Adamantius(en), ainsi que des traités, attribués au mythique Mélampous, sur la divination par les signes corporels[6].
Édition posthume du premier tome des Consilia medicinalia de Guillaume de Baillou († ), par son petit neveu Jacques Thévart (1600-1674), professeur de médecine à Paris[7].
Joan Benningh Bodecheer, professeur de philosophie à Leyde publie deux discours « sur la contagion et le mépris de la mort », auxquels il joint un troisième « pour montrer que les maladies de l'esprit sont pires que celles du corps[8] ».
Marc Duncan († ), médecin écossais, publie son Apologie pour M. Duncan[12], en réponse aux critiques que lui a adressées La Mesnardière dans son Traité de la mélancolie[13], sur son Discours[14] de 1634 sur les possédées de Loudun[15].
François de Monginot (1569-1637), médecin ordinaire du roi, converti au protestantisme, publie son Traité de la conservation et prolongation de la santé[17],
Dans son In actiones Juliodunensium virginum exercitatio medica[18], François Pidoux, médecin, doyen de la faculté et maire de Poitiers, petit-fils du François Pidoux, soutient contre Marcel Duncan la thèse du caractère surnaturel de la possession, chez les ursulines de Loudun[19].
Alexandre de Ponthieu, Simon Dufresne, Jean du Moulin († ) et d'autres médecins d'Amiens s'invectivent à propos des vapeurs répandues dans la ville par l'« airieur[20] » Henri le Cointe[21],[22],[23].
Johann Pharamund Rhumel(en) (1597-1661), médecin et alchimiste allemand, rassemble une douzaine de courts traités en un seul volume, sous le titre d'Opuscula chymico-magico-medica[25].
Parution de l'Ἰατρικον ἀγωνισμα (« Concours médical »), thèses de médecine soutenues par Jacques Robethon, maître ès arts, originaire d'Autun, à l'université de Montpellier en présence du chancelier François Ranchin[26].
Publication des quatre dernières des quinze « Disputations tirées de la Méthode de traitement de Galien » (Disputationes ex libris Galeni De methodo medendi depromptae[27]), soutenues au collège de médecine de Strasbourg sous la direction de Melchior Sebitz le Jeune(en) (1578-1674) par Johann Valentin Wille, originaire de Francfort, Johann Joachim Schlanhov, de Worms, Peter Fuchs, de Nuremberg, et Balthazar Gottfried Schwartz, d'Aub.
Publication posthume du traité sur la goutte (De male della podagra) de Matteo Soriano, médecin originaire de Lentini, attaché à la cour de Toscane[28].
Parution à Vérone d'un traité sur la fièvre typhoÏde, du médecin Alessandro Vicentini[29].
Fabien Violet, sieur de Coqueray, médecin, publie sa Parfaite et Entière Connaissance de toutes les maladies du corps humain causées par obstruction[30],[31].
23 octobre : Peter Uffenbach (né en 1566), éditeur et traducteur d'ouvrages de médecine, de chirurgie, de médecine vétérinaire et de botanique[41].
René Baudin (ou Bodin) (né à une date inconnue), successeur de Toussaint Fournier (1544-1614) à la chaire de médecine du collège universitaire jésuite de Pont-à-Mousson[42].
Johann Rudolf Camerer (né en 1578), professeur de médecine à Tübingen, auteur de « Secrets de la médecine et de la nature » (Sylloges memorabilium medicinae et mirabilium naturae arcanorum) dont les vingt volumes paraissent entre 1614 et 1683[43].
Jean Levrechon (né à une date inconnue), professeur de médecine à Pont-à-Mousson, père de son homonyme, le mathématicien Jean Levrechon[42].
Adrien Toll (né à une date inconnue), professeur de médecine à l’université de Leyde, éditeur de Galien, de Johann Stocker et du traité sur les pierres d'Anselme de Boodt[44].
Bibliographie
Victoria O. Acik, Le Secret du médecin de la cabale, 2013[45].
— Roman historique dont l'action se situe en 1635, pendant le siège de Valenza par Richelieu, et qui met en scène un médecin cabaliste.
↑François Chast, « Les Origines de la législation sur les stupéfiants en France », Histoire des sciences médicales, vol. 43, no 3, , p. 295-305 (lire en ligne).
↑« L'Hôpital de Chalon-sur-Saône, ses bâtiments et ses objets d'art [compte rendu, référence : Louis Armand-Calliat, L'Hôpital de Chalon-sur-Saône et ses anciens objets d'art, Chalon-sur-Saône, , 67 p., 16 pl. h. t., in-8°] », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 55, t. XVIII, no 194, , p. 566 (lire en ligne).
↑Pierre Labrude, « Les Difficultés de la Pharmacie du cerf de Strasbourg », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 88, no 327, , p. 412 (lire en ligne).
↑(hu) István H. Németh, A nagyszombati egyetem alapítólevele [« La Charte de l'université de Nagyszombat »], Magyar Nemzeti Levéltár, (lire en ligne).
↑Adamantius(en) et Mélampous (trad. Henry Boivin du Vaurouy), La Physionomie ou Des indices que la nature a mis au corps humain par où l'on peut descouvrir les mœurs et les inclinations d'un chacun, avec un Traitté de la divination par les palpitations et un autre par les marques naturelles, le tout traduit du grec d'Adamantius et de Melampe par Henry de Boyvin du Vauroüy, âgé de douze ans, à Paris, chez Toussainct du Bray, m.dc.xxxv [1635], [14]-282 p., in-8° (BNF30003280, lire en ligne).
↑(la) Guillaume de Baillou et Jacques Thévart (éd.), Gulielmi Ballonii medici Parisiensis celeberrimi, Consiliorum medicinalium libri II, a Jacobo Thevart, facultatis medicae Parisiensis doctore, authoris pronepote, scholiiis nonnullis illustrati, digesti ac in lucem primum editi, tomus primus [...], adjecta est Authoris vita, cum indicibus necessariis, Parisiis [à Paris] [éditeur=apud Jacobum Quesnel [chez Jacob Quesnel], m.dc.xxxv [1635], 572 p. (lire en ligne).
↑(la) Joan Benningh Bodecheer, Jani Bodecheri Benningii orationes duae de contagione et morte contemnenda, habitae in academia Lugdunensi Batava, cum grassante pestilentia physices professionem auspicaretur, accedit tertia, qua ostenditur morbos animi esse pejores quam corporis, Lugduni Batavorum [à Leyde], apud Franciscum Hegerum [chez Franz Heger], , 92 p., in-12 (lire en ligne).
↑Louise Bourgeois, Recueil des secrets de Louyse Bourgeois, dite Boursier, sage-femme de la royne mère du roy, auquel sont contenues ses plus rares experiences pour diverses maladies, principalement des femmes, avec leurs embellissemens, à Paris, chez Melchior Mondière, m.dc.xxxv [1635] (lire en ligne).
↑(la) Thomae Campanellae Stylens[is] ord[inis] praedic[atorum] Medicinalium juxta propria principia, libri septem, opus non solum medicis, sed omnibus naturae et privatae valetudinis studiosis utilissimum, Lugduni [à Lyon], sumptibus Joannis Caffin et Francisci Plaignard [chez Jean Caffin et François Plaignard], m.dc.xxxv [1635], [24]-690-[1] p., in-4° (lire en ligne).
↑(la) Giovanni Battista Cortesi(it), Comitis Jo[annis] Baptistae Cortesii, in patrio olim Bononiensi archigymnasio medicinae et anatomes professoris eximii, nunc in Florentissima Messanensi academia triginta sex ab hinc annis praxim e prima sede scientissime interpretantis, Practicae medicinae [...], cum duplici indice, capitum et rerum notabilium, Messanae [à Messine], typis haeredum Petri Breae [sur les presses des héritiers de Pietro Brea], mdcxxxv [1635], 605, 456 et 502 p., in-fol (lire en ligne la 1re, la 2e et la 3e partie).
↑[Marc Duncan], Apologie pour Mr. Duncan, docteur en medecine, contre le Traitte de la melancholie, tiré des reflexions du Sr. de la M[esnardie]re, [La Flèche], [Martin Guyot et Gervais Laboé], [entre 1635 et 1640], [4]-295 p., in-4° (lire en ligne).
↑ a et b[Hippolyte-Jules Pilet de La Mesnardière], Traitté de la melancholie, sçavoir si elle est la cause des effets que l'on remarque dans les possedees de Loudun, tiré des Reflexions de M. [de La Mesnardiere] sur le Discours de M. D. [Duncan], à La Fleche, chez Martin Guyot et Gervais Laboe, m.dc.xxxv [1635], [8]-131-[5] p., in-4° (lire en ligne).
↑ a et b[Marc Duncan], Discours de la possession des religieuses ursulines de Lodun, [Saumur], [Jean Lesnier], m.dc.xxxiv [1634], 64 p., in-8° (lire en ligne).
↑ a et bMarianne Closson, « La Mesnardière et les Possédées de Loudun », Littératures classiques, no 103, , p. 33-34 (lire en ligne).
↑(la) Johann Hartmann(de) et Johann Georg Pelshofer(de) (éd.), Tractatus physico-medicus de opio, a cl[aro] viro Johanne Hartmanno, medic[inae] d[octore], chymiatriae professore et archiatro Hassiaco, p[iae] m[emoriae], publice praelectus Marpurgi, nunc vero primum in lucem editus a Johanne-Georgio Pelshofero, medic[inae] d[octore] et in acaemia Wittenbergensi professore, Wittenbergae [à Wittemberg], apud haeredes Clementis Bergeri, typis Johannis Rohneri [chez les héritiers de Clemens Berger, imprimé par Johann Röhner], anno m.dc.xxxv [l'an 1635], pièces limin., 173 p. et index, in-8° (lire en ligne).
↑François de Monginot, Traitté de la conservation et prolongation de la santé, par Me François de Monginot, conseiller et medecin ordinaire du roy et docteur en medecine en la tres-fameuse et ancienne université de Mont-Pellier, à Paris, chez N[icolas] Bourdin et L[ouis] Perier, m.dc.xxxv [1635], pièces limin., 143 p., in-12 (lire en ligne).
↑(la) François Pidoux, In actiones Juliodunensium virginum, Francisci Pidoux doctoris medici Pictaviensis exercitatio medica, ad D. Duncan, doctorem medicum, secunda editio auctior et emendatior, Pictavii [à Poitiers], apud Julianum Thoreau [chez Julien Thoreau], , 160 p., in-8° (BNF31107068) (la première édition est de la même date).
↑Antoine Coutelle, « La Perception de la sorcellerie par les élites urbaines dans une capitale provinciale du royaume de France : Poitiers aux XVIe et XVIIe siècles », dans Antoine Follain et Maryse Simon, La Sorcellerie et la Ville, Strasbourg, Presses universitaires de Strasbourg, (lire en ligne), p. 175-209, § 34 en ligne.
↑Guy Patin et Loïc Capron (éd.), Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, Paris, Bibliothèque interuniversitaire de santé, (lire en ligne), « De François-Philippe Boullanger, le 29 août 1654 », n. 3.
↑Alexandre de Ponthieu, Simon Dufresne et al., La Réfutation de l’écrit composé par Simon Dufresne, docteur en médecine à Amiens, en approbation du parfum employé aux airiements des maisons contagiées, par Henri le Cointe, soi disant airieur, par M. Alexandre de Ponthieu, aussi docteur en medecine audit Amiens [...], ensemble le décret des medecins résidents audit lieu contre ledit parfum, coppie de l'escrit fait par Me Simon du Fresne, la replique dudit Ponthieu à l’invective dudit Dufresne, L'Isle [Lille], Christofle Beys, , 99 p., in-8° (BNF31135322).
↑Jean du Moulin, La Fourbe découverte, ou le Récit véritable de la supposition dont s’est servi Henri de la Cointe pour tirer l’approbation des médecins de cette ville d’Amiens, datée du 10 octobre 1634, en faveur de son airiement, avec le désaveu de la susdite approbation, Paris, , in‑12.
↑(la) Johann Rheinlandt(de), Johannis Rhenani, medici celeberrimi, Opera chymiatrica, quae hactenvs in lucem prodierunt omnia a plurimis, quae in prioribus editionibus irrepserant, mendis vindicata et selectissimis medicamentis aucta, inque unum fasciculum collecta. Series librorum chymiatricorum qui in hoc opere continentur : Solis e puteo emergentis sive Chymiotechnicorum libri tres ; Aureus tractatus de philosophico lapide latinitate donatus ; Binæ epistolæ de solutione philosophica ; Antidotarium pestilentiale, a Friderico Vogt, medico Cassellano, in Latinum idioma translatum ; Urocriterium chymiatricum, Francofurti [à Francfort], sumptibus Conradi Eifridi [aux frais de Conrad Eifrid], in anno mdcxxxv [en l'an 1635], 367 p., in-8° (lire en ligne).
↑(de) Johann Pharamund Rhumel(en), Johann[is] Pharam[undi] Rhumelii Opuscula chymico-magico-medica, Darinnen allerley Artzneyen, wider in[n]erliche und äusserliche Gebrechen der Weiber, Unterricht allerley Brüch und Fürfäll an Männern und Weibern, ohne Schnidt und Schmertzen zuheilen, die versehrte Blasen, und die den Urin nicht halten können, zu curiren, Auch das Podagra magnetice zu vertreiben, item Panacea Aurea, oder gründliche Beschreibung dess Auri Potabilis, aller Balsam, sampt ihrem Brauch, aller warmen Bäder, wie auch Basilica Chymica, und spagyrisches Hauss- und Reise-Apotecklein, mit angehengter Kriegs-Artzney, und gantz newen und nutzlichen Hebammenkunst, [s.l.], gedruckt in Jahr M.DC.XXXV [imprimé en l'an 1635] (lire en ligne).
↑(la) Jacques Robethon, Ἰατρικον ἀγωνισμα, in quo duodecies decertavit Jacobus Robethonius Augustodunensis, artium magister, ad Apollinare magisterium capescendum, coram illustrissimis et ornatissimis viris D. D. F. Ranchino [...], in celeberrima apud Monspelienses medicinae universitate, Monspelii [à Montpellier], apud Joannem Pech [chez Jean Pech], m.dc.xxxv [1635], 37 p., in-4° (lire en ligne).
↑(la) Melchior Sebitz et al., Collegii therapeutici Disputatio I [-XV et ultima], continens praeludia in Galeni Methodum medendi, praeside Melchiore Sebizio, medicinae doctore ac professore, comite Palatio Caesaro et Reipub[licae] archiatro, respondente Eccardo Leichner Saltzungensi Thuringo, Argentorati [à Strasbourg], typis Eberhardi Welperi [sur les presses d'Eberhard Welper], m.dc.xxxiv [-m.dc.xxxv] [1634 [-1635] (lire en ligne).
↑(it) Matteo Soriano, Trattato curioso di Matteo Soriano medico stipendiato durante sua vita dal Gran Duca di Toscana e nativo della fecondissima città di Leontino à tempo che era nel secolo, Discorso utilissimo del male della podagra ò chiragra, gotta calda, fredda, e mista, & sue specie, Palermo [à Palerme], Alfonso dell'Isola, , 70 p., in-4° (BNF31385966).
↑(la) Alessandro Vicentini, De foco putridarum febrium continuarum, apologia pro Galeno [le titre de départ porte : Quae putridarum febrium continuarum fomiti sit sedes in corpore, apologia pro Galeno, [...] Alexandri de Vicentinis], Veronae [à Vérone], ex officina Bartholomei Merli [de l'atelier de Bartolomeo Merlo], , 535 p., in-4° (BNF31571751).
↑Fabien Violet, La Parfaicte et Entiere Cognoissance de toutes les maladies du corps humain, causées par obstruction, par Fab[ien] Violet, sieur de Coqueray, medecin, à Paris, chez Pierre Billainé, mdc.xxxv [1635], pièces limin., 350 p., privil. et errata, in-8° (BNF31589776, lire en ligne).
↑Antoine Portal, Histoire de l'anatomie et de la chirurgie, t. 2, à Paris, chez P[ierre] Fr[ançois] Didot le Jeune, m.dcc.lxx [1770] (lire en ligne), p. 530-531.
↑(la) Daniel Winckler, De opio tractatus in quo simul Liber de opio D. Joh[annis]. Freitagii examinatur, autore Daniele Wincklero, D. et medico Bregensi Siles., Lipsiae [à Leipzig], impensis Henningi Grosii, excudebat Justus Jansonius Dan[us] [imprimé par Justus Janson pour le compte de Henning III Grosse], anno m.dc.xxxv [l'an 1635] (lire en ligne).
↑(la) Johann Freitag, De opii natura et medicamentis opiatis ad omnes totius corporis affectus probatissimis et recta, rationali, hactenusque inexplicata iis utendi methodo liber singularis [...], auctore Johanne Freitagio, med. doctore ejusdemque facultatis in celeberrima, illustrium et potentium Groningae et Omlandiae ordinum academia professore primario, Groningae [à Groningue], ex officina Joannis Sas [de l'atelier de Johann Sass], anno 1632 [l'an 1632] (lire en ligne).
↑(hr) « Becher, Johann Joachim », dans Antun Vujić (dir.) et al., Proleksis Enciklopedija, Zagreb, Institut lexicographique Miroslav Krleža, (lire en ligne).
↑François Veillerette (préf. Georges Berchet), Les Illustres Chaumontais, des origines à nos jours : Notices biographiques sur cinq cent trente personnalités, célébrités ou hommes illustres de Chaumont [etc.], Saint-Dizier, chez l'auteur, , 404 p., in-16 (lire en ligne).
↑« Félix (François-Félix et Charles-François Tassy, dits :) », dans Auguste Jal, Dictionnaire critique de biographie et d'histoire : Errata et supplément pour tous les dictionnaires historiques, d'après des documents authentiques inédits, Paris, Henri Plon, , 2e éd. (1re éd. 1867) (lire en ligne), p. 569-571.
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↑Joseph-François Carrère, Bibliothèque littéraire, historique et critique de la médecine ancienne et moderne, t. 2 : Boe-Coi, Paris, chez Ruault, , [VIII]-576 p. (lire en ligne), « Camerarius (Jean-Rodolphe) », p. 299-300.
↑Nicolas Éloy, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, t. 4, Mons, Henri Hoyois, (lire en ligne), « Toll (Adrien) », p. 409.
↑Victoria O. Acik (trad. de l'italien par Raymond Xhrouet), Le Secret du médecin de la cabale [« Il segreto del medico cabalista »], Monaco, Liber Faber, , 144 p. (ISBN978-2-36580-057-0, présentation en ligne).