Construction d'un hospice thermal à Bagni di Petriolo par Iacopo d'Ambrogio Spannochi[3].
Le pape Nicolas V accorde au Collège des médecins (Collegio dei Medici) de Venise le droit de conférer les grades, mais seulement au citoyens de la ville[4].
Fondation par John Kemp, archevêque d'York, du collège de Wye dans le comté de Kent, qui est à l'origine de l'actuel Imperial College of Science, Technology and Medicine, principalement tourné vers l'enseignement de l'agriculture[5].
À l'avènement de la République ambrosienne, une villa de Cusago, près de Milan, est affectée au soin des pauvres et des malades ; elle servira de lazaret pendant l'épidémie de 1451[7].
↑Collectif, État de la médecine, chirurgie et pharmacie en Europe et principalement en France pour l'année 1777, Paris, chez la veuve Thiboust, , 638 p. (lire en ligne), p. 486.
↑Didier Boisseuil, Le Thermalisme en Toscane à la fin du Moyen Âge : Les Bains siennois de la fin du XIIIe siècle au début du XVIe siècle, Rome, Publications de l'École française de Rome, , X-534 p. (ISBN978-2-7283-0574-2, lire en ligne), p. 127.
↑(en) Paul F. Grendler, The Universities of the Italian Renaissance, Baltimore, The Johns Hopkins University Press, , 616 p. (ISBN978-0-8018-8055-1, lire en ligne), p. 140.
↑(en) Tanya Reed (éd.), « Ancient Statutes Seal Wye and Imperial Merger », IC Reporter, Londres, Imperial College of Science, Technology and Medicine, (lire en ligne).
↑Nicolas Éloy, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, t. 3 : L-P, Mons, H. Hoyois, , 648 p. (lire en ligne), « Occon (Adolphe) », p. 410-411.
↑(en) Theresia Hofer (dir.), Bodies in Balance : The Art of Tibetan Medicine (catalogue d'exposition), New York, Rubin Museum of Art, (ISBN978-0-295-99359-1, lire en ligne).
↑Jean-Eugène Dezeimeris, Charles-Prosper Ollivier et Jacques Raige-Delorme, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne ou Précis de l'histoire générale, technologique et littéraire de la médecine […], vol. 1, 2e partie, Paris, Béchet jeune, , 902 p. (lire en ligne), « Concoregio (Jean de) », p. 856.