discours de Messali Hadj au Congrès Musulman à Alger qui condamne le rattachement de l'Algérie à la France et réaffirme sa lutte pour l'indépendance. Son parti, l'Étoile nord-africaine, est dissout par le Front populaire le et Messali Hadj emprisonné le [11].
31 août : le Native Trust and Land Act entre en vigueur[13]. Les terres tribales des Noirs dans l’Union sud-africaine passent de 8 % à 12,3 % de la superficie totale. Tout achat de terres en dehors de ces espaces est interdit aux Noirs[14].
30 décembre : le projet de loi Blum-Viollette, visant à octroyer des droits politiques à une minorité d'environ 22 000 Algériens musulmans est déposé sur le bureau de la Chambre des députés[16]. Ce projet est vivement combattu par les colons ainsi que par les nationalistes algériens de l'Étoile nord-africaine[17].
Le Lagos Youth Movement, créé en 1934, devient le Nigerian Youth Movement(en). Il est renforcé en 1937 par l’adhésion de Nnamdi Azikiwe, de retour au Nigeria après neuf ans d’études aux États-Unis et trois ans comme éditeur de presse en Gold Coast[18]. Il fait campagne pour la « personnalité africaine » (1936-1937).
Le mouvement Mayange ou Nlenvo se répand au Cabinda[19].
7 - 8 janvier : grève générale à Buenos Aires ; les violences font cinq morts, trois policiers et deux civils ; un accord est conclu entre les ouvriers du bâtiment et les patrons le 25 janvier[20]. L’agitation ouvrière en Argentine est à son apogée, puis elle décline jusqu’en 1943. À partir de 1937, l’État intervient de plus en plus dans la prévention et le règlement des conflits sociaux.
17 février : révolution Febrerista au Paraguay ; le gouvernement de Eusebio Ayala est renversé par un coup d’État dirigé par le général Rafael Franco[21]. Franco, héros de la guerre du Chaco, mène une révolution anti-libérale en se faisant le porte-parole des anciens combattants. Un groupe, les Febreristas, apparaît pour soutenir Franco dans ses initiatives réformistes et nationalistes.
16 juillet : loi du travail au Venezuela. Elle régule les relations entre le patronat et les ouvriers, instaure la journée de huit heures et la semaine de 48 heures, les indemnités de licenciement et d’ancienneté, la liberté syndicale, la sécurité sociale obligatoire et les congés annuels[25]. Le gouvernement López reconnaît 109 syndicats ouvriers et paysans entre juillet et décembre, mais revient rapidement aux pratiques répressives.
1er-23 décembre : conférence interaméricaine de consolidation de la paix à Buenos Aires. Les États-Unis s’engagent à ne pas intervenir « directement ou indirectement et pour quelque motif que ce soit dans les affaires intérieures et extérieures » des pays d’Amérique latine (politique du « bon voisinage »). Un pacte de consultation est adopté, permettant de coordonner les différents traités existant en matière de maintien de la paix[28].
14 décembre : la Ley 200 est approuvée en Colombie dans le cadre de la réforme agraire[30]. Elle autorise l’expropriation sans indemnités des terres incultes ou insuffisamment exploitées[31]. Elle n’est cependant pas en mesure de remettre en question la domination des planteurs de café.
Asie
20 février, Japon : victoire des libéraux aux législatives. Pour la première fois, des socialistes entrent au Parlement[32].
5 novembre : le Siam invalide tous les traités qu’il avait signés avec des pays étrangers. Aux termes des clauses des nouveaux traités conclus l’année suivante, le gouvernement obtient sa totale indépendance[38].
5 décembre : réorganisation administrative de l’Asie centrale. L’ancienne RSSA de Karakalpakie rejoint l’Ouzbékistan. Création de la République socialiste soviétique kirghize et de la République socialiste soviétique kazakhe fédérée de l’URSS[41]. Une politique de sédentarisation forcée des nomades et de collectivisation des terres de 1929 à 1933 a détruit la culture et le mode de vie kazakh. Des centaines de milliers d’habitants ont été tués (famine, épidémie) ou se sont enfuis vers la Chine (de 1 750 000 à 2 020 000 Kazakhs), ce qui correspond selon lui à environ 50 % de la population kazakhe[42].
27 janvier, Syrie : la grève générale est décrétée à Damas par le Bloc national. Le pays est paralysé pendant 36 jours. La France impose la loi martiale et procède à de nombreuses arrestations, mais doit céder en février[44]. Elle renvoie le gouvernement Taj al-Din, libère les prisonniers et ouvre des négociations avec le Bloc national. Le 1er mars, le Haut-Commissaire Damien de Martel s’engage à rétablir la vie constitutionnelle, à favoriser l’unité de la Syrie et à conclure un traité analogue au traité britanno-iraquien de 1930. Les négociations s’ouvrent en avril à Paris et sont interrompues jusqu’à l’été en raison des élections françaises du printemps[43].
15 avril : trois Juifs[48] sont assassinés dans la région de Naplouse par un groupe arabe extrémiste (al-Qassam). En représailles, deux Arabes sont tués par des Juifs radicaux de l'Irgoun le 18 avril[49],[50].
19 avril : des ouvriers agricoles tuent neuf Juifs et en blessent une soixantaine dans la région de Jaffa[49]. L’état d’urgence est proclamé par les autorités britanniques. Les violences se poursuivent.
20 avril : un comité national formé à Naplouse appelle à une grève générale pour exiger l’arrêt de l’immigration juive et des transferts fonciers. La grève des Arabes, spontanée et populaire est déclenchée dans toute la Palestine, que les partis décident de soutenir. Des comités nationaux sont organisés dans toutes les villes principales pour organiser la contestation[51].
28 avril : mort du roi Fouad Ier d’Égypte. Son fils Farouk lui succède à l’âge de seize ans[52]. Un conseil de régence est désigné par le Parlement. Le roi est entouré de conseillers politiques comme Ali Maher, opposant au Wafd. Farouk devient rapidement très populaire (fin de règne en 1952).
2 mai : victoire du parti nationaliste Wafd aux législatives en Égypte. Mustapha Nahhas pacha fonde un troisième gouvernement d’union nationale[53]. Il engage immédiatement des négociations avec les Britanniques en vue de la conclusion d’un traité.
7 mai : le comité suprême arabe réuni en congrès décide le refus du paiement des impôts et le recours à la résistance active armée à partir du 15 mai si le gouvernement britannique n’accepte pas ses revendications (arrêt total de l’immigration juive et des transferts de propriétés, création d’un corps législatif élu)[54]. Début de la grande révolte arabe en Palestine mandataire. La violence urbaine s’étend aux campagnes. Des bandes rurales attaquent les Britanniques et les sionistes et sont rejoints par quelques centaines de volontaires syriens, anciens de la Grande révolte de 1925. La répression britannique est modérée au début. Londres promet l’envoi d’une commission d’enquête après l’arrêt des troubles et accepte la médiation des gouvernements arabes d’Arabie saoudite, d’Irak et de Transjordanie, qui appellent à la fin de la grève (10 octobre). Le comité suprême arabe accepte en échange d’un soutien des pays arabes face aux Britanniques[49].
26 août : traité de Londres entre le Royaume-Uni et l’Égypte[53]. Il prévoit une alliance perpétuelle entre les deux pays comprenant une coopération en matière de politique étrangère et des facilités en cas de guerre (ports, aérodromes, voies de communication). Les effectifs de l’armée égyptienne ne sont plus limités mais les instructeurs restent exclusivement britanniques. Une garnison britannique est stationnée dans la zone du canal de Suez pour vingt ans. Pour la question du Soudan, le traité propose le retour à un condominium britanno-égyptien. Les Capitulations seront abrogées progressivement et l’Égypte sera admise à la SDN.
7 septembre : le gouvernement britannique proclame la loi martiale en Palestine[49].
9 septembre : accords Viénot. Le protocole français prévoyant l’indépendance de la Syrie dans un délai de trois ans est signé à Paris. Il garantit l’entrée de la Syrie à la SDN. La France conserve des facilités militaires pour 25 ans. Des troupes françaises seront stationnées chez les Druzes et les Alaouites pendant cinq ans[43].
29 octobre, Irak : le général Bakr Sidqi organise un coup d’État militaire. Nu’ri Sa’id parvient à s’enfuir. Rachid Ali et Yasin al-Hashimi sont exilés. Un gouvernement est formé autour d’Hikmat Sulayman(en), chef de l’ancienne opposition socialiste avec un programme de lutte contre la corruption, de renforcement de l’armée, de développement de l’enseignement, d’établissement de monopoles économiques, d’augmentation des impôts sur le revenu et l’héritage et la mise en place d’une législation sociale[57]. Il se heurte à la classe dirigeante des grands propriétaires terriens qui exercent des pressions sur le pouvoir. La seule mesure sociale adoptée est la réduction de la durée quotidienne de travail pour les employés. Aux élections des et , la société al-Ahali n’obtient que 11 sièges sur 108. Bakr Sidqi critique de plus en plus ouvertement ses alliés socialistes.
De 1936 à 1941, il y a six tentatives de prise de pouvoir par les militaires en Irak.
13 novembre : traité franco-libanais signé au Petit Sérail à Beyrouth, prévoyant l’indépendance du Liban dans un délai de trois ans[43].
Des troubles éclatent à Beyrouth entre musulmans hostiles à la présence française et chrétiens arméniens favorables au lendemain de la signature du traité[59].
14 et 30 novembre : les nationalistes remportent une majorité écrasante aux élections législatives en Syrie[60].
21 novembre : création du mouvement des Phalanges libanaises par un pharmacien maronite de Beyrouth, Pierre Gemayel[61]. C’est une organisation de jeunesse paramilitaire à caractère sportif qui prône un nationalisme libanais et chrétien. Les musulmans de Beyrouth répondent par la création des scouts musulmans.
27 décembre : le traité avec la France est ratifié dans l’enthousiasme par le Parlement syrien[43], mais en France, le projet sera ajourné sine die par la Chambre.
26 janvier : élection législatives en Grèce ; les coalitions monarchistes et vénizélistes se partagent les sièges (143 et 142 sièges sur 300). Le Front populaire conduit par le KKE est en position d’arbitrage avec 15 députés, qui soutiennent le parti libéral à partir du 19 février[66].
25 mars : signature du second Traité naval de Londres relatif à la limitation des armements navals entre les États-Unis, la France et la Grande-Bretagne[69]. Le 30 mars, le Royaume-Uni annonce la mise en chantier de 38 nouveaux bâtiments de guerre[70].
1er avril : rétablissement du service militaire obligatoire en Autriche[71].
2 juin : début de la grève des dockers d’Anvers, mouvement social qui se généralise en Belgique pour rassembler un demi-million de participants les 22 et 23 juin ; le premier ministre Paul Van Zeeland réunit une conférence du patronat et des syndicats le 17 juin qui aboutit à un programme de réformes économiques et sociales (salaire minimum, six jours de congés payés, semaine de 40 heures et liberté syndicale)[75].
11 juillet : accord germano-autrichien, reconnaissant la souveraineté de l’Autriche qui aligne sa politique étrangère sur celle de l’Allemagne[77]. Le mouvement national-socialiste y est de nouveau autorisé.
27 septembre : échec de la politique déflationniste aux Pays-Bas. Abandon de l’étalon-or, qui permet la reprise grâce à la dépréciation du florin (-22 %)[81].
6 octobre : mort à Munich du chef du gouvernement hongrois Gyula Gömbös. Kálmán Darányi lui succède (fin en 1938)[83]. Après une brève tentative de dégagement, Darányi est contraint par Hitler d’aligner la politique hongroise sur celle du Reich. Il lance un programme d’un milliard de pengös pour le réarmement de la Hongrie.
10 octobre : dissolution des formations paramilitaires en Autriche pour les incorporer dans la milice[84].
26 février : Adolf Hitler présente à la presse la Volkswagen, « une voiture du peuple » conçue par Ferdinand Porsche[94]. Une usine chargée de la fabriquer est construite en 1938 à Fallersleben, en Basse-Saxe.
7 mars : remilitarisation de la Rhénanie en réaction alléguée à la ratification du pacte franco-soviétique. L’Allemagne installe des troupes en violation du traité de Versailles et du pacte de Locarno[77]. Londres ne réagit pas. La France saisit la SDN. Hitler propose à la France et à la Belgique l’ouverture de négociations en vue de conclure des pactes de non-agression de 25 ans garantis par le Royaume-Uni et l’Italie.
Alors que se déroulent les Jeux, Hitler adresse un mémoire secret à Göring et au maréchal von Blomberg sur un plan de quatre ans, qui fixe ses objectifs : armée opérationnelle, économie capable de faire face à la guerre[99].
24 août : le service militaire obligatoire passe de un an à deux ans[100].
Début d’une vague de violences libertaires, d’occupation de terres, de saccages et incendie d’églises[105]. De février à juin, 269 espagnols sont victimes d’attentats de tous bords (45 pour l’année 1935)[106]. Les partis ouvriers se reconstituent autour du PCE (102 000 militants en mai contre 35 000 en février[107]). La CEDA se disloque et de nombreux militants rejoignent la Phalange[108].
21 février : amnistie générale des condamnés politiques et sociaux d’après « l’octobre rouge » de 1934[109].
22 février : Le général Franco est relevé de son poste de chef d’état-major et nommé gouverneur militaire des Canaries[103].
13 juillet : la mort d’un officier des Gardes d’assaut provoque en représailles l’enlèvement et l’assassinat du monarchiste José Calvo Sotelo. Sa mort tragique est considérée comme déclencheur du soulèvement militaire[110].
19 juillet : le gouvernement de José Giral, qui n’a qu’un pouvoir de façade, ordonne la distribution d’armes à la population[112]. Il demande l’aide de la France. Léon Blum décide de répondre favorablement le 20 juillet, et une première commande officielle d’armement est honorée entre août et octobre, mais il doit reculer devant les réticences britanniques et la pression de l’opinion publique[113].
27-28 juillet : arrivée des premiers avions italiens et allemands qui permettent le transfert de 14 000 soldats nationalistes du Maroc en Espagne[114].
28 août : victoire républicaine à la bataille du Monte Pelado, engageant les premiers antifascistes italiens aux côtés des républicains espagnols[119].
28 novembre : signature du protocole secret de Salamanque entre Franco et l’ambassadeur italien Filippo Anfuso. L’Italie envoie 14 000 hommes avant janvier 1937 (72 775 dans l’armée de terre et 5 699 dans les forces aériennes au total avant la fin et la guerre[133]. (5 000 Italiens s’enrôlent dans les Brigades internationales).
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